Hors-jeux - 8 novembre 2024 : Spécial Radiothon

November 15, 2024 01:42:45
Hors-jeux - 8 novembre 2024 : Spécial Radiothon
Hors-jeux
Hors-jeux - 8 novembre 2024 : Spécial Radiothon

Nov 15 2024 | 01:42:45

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Show Notes

Hors-Jeux présente cet épisode spécial dans le cadre du Radiothon 2024 de CFAK 88.3FM au profit de Moisson Estrie !

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Episode Transcript

[00:00:00] Speaker A: Le balado que tu t'apprêtes à écouter. [00:00:01] Speaker B: Tu peux pas l'entendre ailleurs. [00:00:03] Speaker A: C'est une exclusivité. [00:00:05] Speaker C: 88.3 CFAQ Ça part ici. Vous écoutez le Radiothon CFAQ 2024 au profit de Moisson Estri. Vous pouvez faire un don en argent. [00:00:19] Speaker A: Ou en denrées au 1 1 10. [00:00:21] Speaker C: 10 ainsi que sur le cfaq.ca. [00:00:28] Speaker B: Musique douce. [00:00:51] Speaker C: Alors bonsoir tout le monde et bienvenue à cette édition spéciale de Hors-jeu avec Julien Mocénaire et comme je vous avais mentionné mardi, C'est une édition toute particulière parce que c'est la semaine de la radio sur le campus de l'Université de Sherbrooke cette semaine et donc nous faisons un radiothon aujourd'hui qui a commencé à 4h cet après-midi et qui se terminera vers les 6h demain si je ne me trompe pas. 4h. 4h, parfait, merci Alex. Bonsoir c'est le cas de le dire parce qu'il est présentement minuit. Donc ça va être une émission quand même assez longue. On s'enligne pour deux heures de discussion sur le sport. Encore une fois, plusieurs sujets à discuter. Mais j'ai envie aussi, comme le politologue que je suis, de faire un gros pont entre le monde du sport et l'élection de Donald Trump. qui va certainement avoir des impacts sur le monde du sport. Et pour l'émission aujourd'hui, donc, présentement, j'ai deux invités avec moi et deux autres qui vont se rajouter dans une trentaine de minutes environ. Donc, bien, mon collaborateur habituel, Vincent, qui est avec moi à Minou aujourd'hui. Donc, salut, Vince. [00:01:59] Speaker B: Bon matin, bon matin. [00:02:00] Speaker C: Ça va bien? [00:02:01] Speaker B: Oui, écoute, je ne m'attendais pas à faire de la radio à 7 heures aussi tardive de ma vie, mais on y est. C'est pour une bonne cause. Très content d'être là. [00:02:10] Speaker C: Oui, il faut bien rappeler que le Radio-Toint, tous les profits amassés vont aller à Moisson Estrie, donc encourager et donner de l'argent pour Moisson Estrie afin de permettre aux gens de se nourrir dans le temps des fêtes qui s'en vient bientôt. Et notre autre invité en ce moment est nul autre que notre DG ici à la SÉFAC, M. Alexandre. Donc, bonjour. Bonsoir, Alex. [00:02:31] Speaker B: Salut. [00:02:31] Speaker D: Oui, ça va bien? [00:02:32] Speaker C: Ça va bien et toi? [00:02:32] Speaker D: J'ai pas l'air trop fatigué. [00:02:33] Speaker C: Non, non, non, vraiment pas. [00:02:36] Speaker D: Mon niveau d'énergie est là. [00:02:38] Speaker C: C'est parfait. Parfait. Ça va être une bonne émission, ça, les gars. [00:02:45] Speaker D: Ben oui, ben oui. [00:02:46] Speaker B: On parle de sport. [00:02:47] Speaker C: On parle de sport. All right, bon ben, on n'ira pas tout de suite avec la défaite encore du Canadien. On va attendre un petit peu question de laisser les gens mousser un peu sur YouTube, question peut-être de me lancer des insultes aussi un peu du même coup. Mais Vincent, on va commencer avec la Ligue des champions. [00:03:04] Speaker B: On ne fera pas nos Jérémie-Philo ça tout de suite. [00:03:06] Speaker C: Non, non, on ne fera pas nos Philo tout de suite. On va attendre un peu. Mais justement, allons-y avec la Ligue des champions. Parce que mardi, Léo Pimont est allé dans un exercice Un petit exercice quand même, on y est allé de plusieurs prédictions pour les matchs qu'il y avait mardi et mercredi en Ligue des champions en Europe. Vincent, parle-nous un peu des résultats, qu'est-ce qui s'est passé, y'a-tu eu des upsets? [00:03:29] Speaker B: Il y a eu quelques upsets. Je sais d'ailleurs que Léopold a correctement prédit l'une de ces upsets-là, comme il m'a raconté. Le match qui opposait le Real Madrid à l'assimilant. On connaît la narrative, Real Madrid. En fait, on a tendance à l'oublier, mais l'assimilant, c'est la deuxième équipe qui a remporté le plus de Ligue des champions de l'histoire. La première, évidemment, c'est le Real Madrid. Donc, c'était vraiment un choc des titans dans ce monde de la Ligue des champions. Et là, le Real Madrid qui sortait d'une lourde défaite dans le Clasico de 4 à 0 face au FC Barcelone. Vini Junior qui finalement ne gagne pas son ballon d'or. On pouvait s'attendre à ce que le Real Madrid arrive avec le couteau entre les dents vraiment. Ils veulent complètement annuler une équipe de l'assimilant qui ne va pas particulièrement bien en ce début de saison. Mais Léopold qui est un fan de l'assimilant, il avait prédit une victoire de l'équipe italienne et c'est ça qui est arrivé à la surprise assez générale. [00:04:27] Speaker C: C'est bien Vincent quand même que tu mentionnes la Vinicius Junior de 1 parce que je vais produire un bel... un article cette semaine, un exclusif web justement sur la cérémonie du Ballon d'or dont je parle en long et en large. de la réaction de Vinicius et la décision du Real Madrid de ne pas faire le voyage à Paris pour la cérémonie de France football du ballon d'or. [00:04:51] Speaker B: Pour mon pas là-dessus. [00:04:53] Speaker C: Justement, comme on en discutait hors d'onde tantôt, il s'est passé quand même un événement, bon, pas spécial pour Vinicius, mais qui explique quand même pourquoi il n'a pas été choisi pour remporter le ballon d'or. Le petit vidéo qu'on a regardé tantôt, l'action, c'est le gardien de but Mike Maignan de l'AC Milan qui attrape le. [00:05:11] Speaker A: Ballon. [00:05:14] Speaker C: De manière toute banale relance le jeu puis tu vois juste Vinicius à côté qui décide de se jeter par terre et demande une faute à l'arbitre alors qu'on voit clairement sur les images qu'il n'y a eu aucun contact. Moi c'est ce style de jeu là un peu toxique de Vinicius qu'on voit quand même assez particulièrement chez les brésiliens, beaucoup au sein de la fédération brésilienne en ce moment justement. [00:05:35] Speaker B: Oui, bien, autant que Vinicius Junior, c'est un joueur de calibre international, définitivement l'un des meilleurs joueurs au monde et qui, on peut argumenter, aurait mérité le dernier ballon d'or. On s'entend que cet argument-là de fair play, de manque de respect de ses adversaires, ça peut peser dans la balance alors que tu regardes un joueur comme Rodrigue qui est tellement un exemple de leadership et de fair play sur le jeu. Bien, on peut comprendre pourquoi c'est un argument qui aurait pu pèsé dans la balance. Et, ouais, bien, Vinicius Junior qui a quand même marqué lors du match face à Lassé-Milan. Un pénalty pour ramener son équipe à égalité. Mais, écoute, Lassé-Milan qui a très bien tenu son plan de jeu. Alvaro Morata, l'ancien du Real Madrid, qui a marqué le but gagnant pour faire 2 à 1. Et Tijani Reinders au milieu de terrain qui était... Écoute, j'écoutais une vidéo, une analyse, il se faisait même comparer à Zinedine Zidane, de la manière dont il a joué, avec quelques petites actions techniques de haute classe. [00:06:34] Speaker E: Et... [00:06:35] Speaker B: Mais moi ça me faisait étrangement penser à la performance de Dusan Tadic quelques années, je crois en 2019, alors qu'il jouait pour l'Ajax face au Real Madrid au Bernabeu, lui qui avait complètement rené le show, si on peut dire. Et oui, vraiment une surprise dans cette compétition-là, l'assimilant qui l'emporte sur la marque de 3-1. [00:06:57] Speaker C: Si tu permets de continuer sur les prédictions, moi aussi j'ai fait une prédiction qui s'est avérée 100% vraie. J'avais calé l'anglicisme une victoire du Sporting CP Portugal contre Manchester City et un tour du chapeau de l'attaquant suédois Victor Jucarez. Vous pouvez aller sur le site internet de la CETEC, réécouter l'émission de cette semaine pour avoir vos reçus, pour avoir les preuves que j'ai bien dit ça. Mais en effet, Victor Giocheres qui perd son entraîneur justement, qui vient en première ligue, qui va affronter Manchester City à plusieurs reprises. Ben, écoute, Ruben Amorim qui arrive pis qui bat Manchester City comme ça par la marque de 3 ou 4 à 1 si je ne me trompe pas. [00:07:47] Speaker B: 4 à 1, oui. [00:07:48] Speaker C: 4 à 1, c'est... Écoute, ça commence bien pour lui pis ça regarde mal pour les autres équipes. [00:07:53] Speaker B: Ouais, ben ça va mettre les attentes très très hautes lors de son arrivée à Manchester United dans, je pense, deux semaines, quelque chose comme ça. Je sais que ce match-là, c'était le dernier match à domicile qu'il allait jouer en tant qu'entraîneur du Sporting Club Portugal. Mais écoute, Son plan de match a complètement fonctionné. Sporting qui finit le match avec une trentaine de... bien, je le vois ici, 27 % de possession du ballon, qui ont quand même été capables de se produire plus de trois buts attendus, les expected goals. Les contre-attaques foudroyantes de Victor Guéquerres qui monopolisent l'attention des défenseurs de Manchester City. Un Manchester City qui, bon, était sans Rodry, sans Kevin De Bruyne, avec un Simpson possé à la défense, dont j'avais malheureusement jamais entendu le nom. Mais ça demeure quand même Manchester City, ça demeure Pep Guardiola. Et là, Guillaucarez qui continue sur sa lancée, un autre tour du chapeau. On peut s'entendre également qu'il a vraiment gagné la bataille des attaquants scandinaves dans ce match. [00:08:52] Speaker C: Oui, absolument. Puis, justement, la course au prochain Ballon d'or qui est déjà entamée depuis la cérémonie de la semaine dernière, Vittorio Ghioccheres est en train de faire un énorme cas pour lui, en fait, pour l'année prochaine. Parce que déjà, l'année dernière, Vittorio Ghioccheres avait terminé parmi l'un des meilleurs buteurs en Europe, dans le top 5 des meilleures ligues, en fait. Puis là, Victor Giacarese qui est encore meilleur buteur en Europe en ce moment, en ce début de saison. Mais pour moi, tout porte à croire qu'il y aurait des bonnes chances, au moins, de terminer dans le top 10. [00:09:31] Speaker B: Oui, j'entends ce que tu dis, mais s'il veut vraiment aspirer au ballon d'or, ça va quand même lui prendre un transfert dans un grand club. Là, on va voir comment le sporting va se débrouiller. Ça, Amorim va quitter dans quelques semaines. En Ligue des champions, peut-être qu'il se rendra encore de finale, en demi-finale. À la surprise générale, ça peut augmenter ses chances aussi. Et également, des performances avec la Suède. [00:09:54] Speaker C: Oui, effectivement. Puis justement, Ruben Amorim, son ancienne entreprise. pas désormais ancien entraîneur, mais dans quelques semaines. Futur ancien entraîneur, on va dire ça comme ça. Ben Ruben Amorim a répondu à la question justement de est-ce qu'il allait emporter Victor Guiocares avec lui à Manchester United. Puis il a sorti une bonne réponse quand même, un peu évasive tout de même, en disant que cet hiver, il n'y aurait pas de transfert pour Guiocares, qu'il terminerait la saison au Sporting CP. Mais il a quand même annoncé que Gökçerez partirait à la fin de la saison et que son avenir va être entre ses mains rendu là. Quant à moi, c'est un petit message pour dire... Il y a certainement des chances que Yucarez rejoigne les rangs de Manchester United. [00:10:39] Speaker B: Moi, je le verrais définitivement en Angleterre. En tout cas, on verra pour Manchester United, effectivement, ce serait quand même un transfert assez cohérent. Mais c'est tellement un attaquant qui est fait pour la Ligue anglaise. Il est gros, il est vite, il est physique, très bon finisseur. Écoute, je le prendrais tellement à Liverpool, moi, à la place de Darwin Nunez. Je le verrais bien à Arsenal aussi, qui a désespérément besoin d'un numéro 9 en ce moment. Mais effectivement, Manchester United, sous son futur ancien entraîneur, ça serait très cohérent. [00:11:08] Speaker C: Super. Merci pour ça, Vincent. On va continuer. On va aller en courte pause pour l'instant, mais on va être de retour pour la suite de Hors-jeu, cette édition spéciale de la semaine de la radio. Et nous sommes de retour alors qu'Alex revient au courant avec son vadeau. Mais vas-y Vincent, continue de nous donner un peu les nouvelles en Ligue des champions. [00:11:38] Speaker B: Ben écoute, tu peux être sûr que moi le match que j'ai suivi cette semaine, c'était Liverpool face au Bayer Leverkusen, match qui avait lieu à Anfield. Narrative, Ben Chabalonzo, l'entraîneur du Bayer Leverkusen, J'ai vécu une saison historique l'année passée en se rendant en finale de Ligue Europa, en remportant l'ADF épocale en Angleterre et en remportant la Bundesliga de manière invaincue en ne perdant aucun match. L'année passée, l'entraîneur historique de Liverpool, Jurgen Klopp, avait annoncé son départ, et là, il y avait beaucoup de rumeurs qui disaient que Jaby Alonso allait rejoindre les Reds. Finalement, Alonso a décidé de rester au Bayer Leverkusen, et Liverpool est plutôt allé chercher un entraîneur néerlandais du nom de Arne Slott, qui est un entraîneur avec lequel j'étais un petit peu familier. Je savais qu'il entraînait Feyenoord, qu'il avait déjà remporté la Rédivisée avec eux, mais j'en connaissais vraiment pas plus que ça sur lui. Écoute, il est en train de dépasser les attentes de tout le monde sur Arne Slott. Il n'a eu aucun transfert à part le gardien Mamarda Juli, mais qui va arriver l'année prochaine. Il a littéralement gardé le même effectif des dernières années pour Liverpool. Il a complètement changé l'équipe. Il a fait des petits ajustements tactiques pour certaines choses qui manquaient à l'équipe de Klopp, surtout l'année passée en fin de saison. annihilé le Bayer Leverkusen de Jaby Alonso par la marque de 4-0. On a Luis Diaz qui a marqué un tour du chapeau. Écoute, c'est vraiment un début de saison de rêve pour mes Reds, qui sont premiers de la Ligue anglaise avec seulement des victoires, une nulle et une défaite, et qui sont également premiers du classement de la Ligue des champions avec quatre victoires en autant de matchs. [00:13:21] Speaker C: Pour moi, c'était un grand match. J'attendais le retour à la maison de Jaby Alonso depuis un certain temps. Mais somme toute, je pense quand même que la décision d'y aller avec Arnie Slott plutôt que d'y aller avec une ancienne légende du club, chose qu'on a pu voir qui ne fonctionne pas tout le temps, notamment à Manchester United, qu'on a fait confiance à Ole Gunnar Soskjaer. Même chose un peu pour le milieu de terrain, Javi, au FC Barcelone, la pluie, le beau temps. C'est un peu ça la tendance en ce moment. Certes, on a des anciens joueurs, des anciennes légendes qui sont des excellents managers. Je parle ici de Thiago Mota avec Juventus. Même chose pour Javi Alonso avec Bayer Leverkusen. Je pense qu'il démontre tout l'étendue de son intelligence niveau football, dans le même style que Pep Guardiola. [00:14:12] Speaker B: Tout à fait, il a construit une vraie machine à gagner. Il est tellement capable de tirer avantage de ses meilleurs joueurs, ou de tirer le meilleur de ses meilleurs joueurs. On peut penser à Florian Verth, aux deux pistons, à Jérémy Frimpong et Alejandro Grimaldo. On a Victor Boniface à l'attaque. On a Granit Xhaka qui, avait connu un passage à Arsenal à 6 mitigés et qui est instantanément redevenu l'un des meilleurs milieux de terrain de la Bundesliga. Lui qui jouait avant avec le Borussia Mönchengladbach. Non, qui est devenu un vrai leader de cette équipe. Mais écoute, Bayer Leverkusen qui a frappé un mur littéralement. [00:14:51] Speaker C: Qui s'est écroulé pour la première fois en plus d'un an. Parce que l'année passée, on n'a pas vu En fait, on a vu Bayer Leverkusen s'incliner à une seule reprise, qui était en finale de l'Europa League contre Atalanta, si je ne me trompe pas, à la suite d'un triplé. C'est un début de saison un peu plus difficile pour Gévi Alonso et Bayer Leverkusen. Mais dans un sens, je crois que c'est mieux pour le Bayard Leverkusen. On redescend enfin sur terre. On se rend compte qu'on n'est évidemment pas invincible. Surtout contre un des meilleurs clubs en Angleterre, si ce n'est pas le club avec la meilleure forme en ce moment. Ça laisse beaucoup de questions, parce que principalement, Jaby Alonso, où est-ce qu'il va aller l'année prochaine? Parce qu'on a renouvelé son contrat seulement pour cette saison-ci. Donc, tout est dans l'air en fait pour lui. Va-t-il rester au Bayer Leverkusen? Va-t-il changer dans un plus grand club européen qui aura un meilleur effectif, peut-être plus de fonds pour aller chercher des meilleurs joueurs dans les transferts? [00:16:03] Speaker B: Oui, c'est une excellente question. Et tu vois, la raison pour laquelle il y avait autant de rumeurs entre Xabi Alonso et Liverpool l'année passée, c'est entre autres parce qu'Alonso est un ancien milieu des Reds. Et donc, si on suit un peu cette logique, on pourrait penser que Xabi Alonso pourrait rejoindre les rangs du Real Madrid. Comme on en a parlé un petit peu tantôt, le Real qui ne vit pas la meilleure saison, Ancelotti qui commence à être de plus en plus dans l'eau chaude. Ça serait quand même un gros pari à prendre sur un entraîneur qui n'a mine de rien pas tant d'expérience que ça. Mais écoute, c'est quand même un joueur et désormais un entraîneur qui connaît le Real de fond en comble. Donc à suivre, à suivre, mais Jabba nous donne définitivement un grand avenir dans le monde du foot comme entraîneur. [00:16:46] Speaker C: Certainement, puis c'est sûr qu'il ne faut pas oublier que Carlo Ancelotti se fait de plus en plus vieux aussi. Ce n'est pas l'emploi du temps le plus facile à être entraîneur, manager d'une équipe de football. Surtout en Europe, c'est à cet âge-là. En plus, pour Carlo Ancelotti, d'un, ça doit être super stressant parce que, je veux dire, tu as quand même des joueurs comme Kylian Mbappé, Vinicius et tout qui poussent derrière toi pour gagner à tout prix. [00:17:14] Speaker B: Oui, et c'est drôle parce qu'Ancelotti, c'est tellement un bon entraîneur pour prendre une bande de superstars et créer un projet de jeu cohérent autour d'eux. Mais depuis l'arrivée d'Mbappé, c'est comme si c'était la pièce de trop. Les joueurs commencent à se piler sur les pieds, la défense va moins bien, le milieu de terrain... Écoute, je regardais des analyses de leurs matchs, La plupart de leurs matchs, c'est du kick and run. Les milieux de terrain sont là pour faire la salle baisogne, mais ultimement, ce sont les défenseurs qui envoient des longues diagonales vers Vinicius, vers Kylian Mbappé. Et ça, c'est quelque chose sur lequel ils se sont tellement fait exposer face au FC Barcelone. Kylian Mbappé qui a fini le match avec 8 hors-jeu. La ligne défensive du FC Barcelone qui a... complètement mis dans sa poche, les Vincius Junior, les... Est-ce que Rodrigo jouait? Je me souviens pas. Mais les Vincius Junior et les Kylian Mbappé de ce Real Madrid. [00:18:09] Speaker C: Absolument. C'est exactement vers là que je me dis que j'ai. On voit en ce moment que le problème au PSG, c'était pas l'effectif au complet, mais c'était bien Kylian. Parce qu'en ce moment, le PSG joue très bien en Ligue 1. Et alors que Kylian a un peu de misère à faire sa place avec le Real Madrid, il a quand même réussi à marquer quelques buts. depuis le début de la saison, mais rien de ce qu'on est habitué à le voir faire. On est très loin des nombres marqués déjà par Erling Alland. au Man City, et Victor qui reste aussi au Sporting CP. Mais c'est bien que tu mentionnes FC Barcelone quand même, parce que Barça a gagné encore cette semaine par la marque 5-2. [00:18:47] Speaker B: Ils continuent à planter des buts comme si de rien n'était. Écoute, quand même une victoire assez formelle par la marque de 5-2 face à l'Etoile Rouge de Belgrade, qui n'est pas particulièrement un cadeau dans cette compétition. Mais encore une fois, Robert Lewandowski qui plante, Rafinha qui délivre des passes décisives. Deux buts de Lewandowski, seulement un de Rafinha, mais trois passes décisives pour un joueur qu'on n'aurait probablement pas attendu. [00:19:25] Speaker C: Jules Koundé. [00:19:26] Speaker B: Jules Koundé qui a délivré trois passes décisives. [00:19:28] Speaker C: De son poste de défenseur en plus. [00:19:31] Speaker B: De défenseur droit. Et écoute, c'est Barcelone qui continue à être un rouleau compresseur offensif sur ses adversaires, qui connaît son début de saison le plus fructueux en termes de buts de son histoire. Écoute, FC Barcelone qui inscrit presque une moyenne de quatre buts par match. Ce trio offensif-là de Rafinha Lewandowski et Lamine Yamal. qui va pouvoir les arrêter. [00:19:55] Speaker C: Clairement, Antiflic était l'homme de la situation, vraiment, pour sortir le meilleur de ce trio-là. Parce qu'on se rappellera, l'année dernière, on a eu l'Amen Yamal qui a quand même joué au-dessus de 40 matchs. Si je ne me trompe pas, c'est 64 matchs que l'Amen Yamal a joués, toute compétition. [00:20:13] Speaker B: C'est bien possible, avec la sélection espagnole aussi. [00:20:16] Speaker C: Dont 37 matchs en Liga espagnole, ce qui veut dire qu'il a manqué un seul match l'année passée. Les statistiques ont vraiment changé cette année. On voit de un, Rafinha qui est excellent en ce début de saison, un des meilleurs joueurs de la Ligue, selon moi, si ce n'est pas le meilleur, en plus d'être capitaine du FC Barcelone. C'est un expo, selon moi, qui est en train de réussir en ce moment. [00:20:38] Speaker B: C'est vraiment cool de voir que Rafinha est capable de changer sa fortune comme ça. Lui qui avait connu deux saisons correctes avec le FC Barcelone. [00:20:45] Speaker C: À son arrivée près de Leeds, en fait, en Angleterre. [00:20:48] Speaker B: Oui, et là qu'il passe de l'aile droite à l'aile gauche, qu'il devient un joueur complètement différent sur Hansi Flick, un leader sur le terrain, chose à laquelle, moi personnellement, je ne m'attendais pas. [00:20:58] Speaker C: Je ne m'attendais jamais à voir Rafinha porter le brassard de capitaine cette saison. J'aurais plutôt vu un Inigo Martinez ou un Robert Lewandowski. Puis Hansi Flick a quand même donné le brassard à Rafinha. J'ai question que... Je me posais beaucoup de questions sur ça au début de la saison, puis pourtant, bien Rafinha, il prouve, semaine en semaine, que c'était le bon choix à faire. [00:21:18] Speaker B: Oui, bien écoute, Rafinha n'est quand même pas le premier capitaine du FC Barcelone. En temps normal, ça devrait être Marc-André Ter Stegen, qui est blessé. Je vois ici qu'il y a aussi Ronald Araujo et Frankie De Jong, mais qui sont également blessés. Mais écoute, Rafinha qui prend son rôle vraiment à cœur, délivre bonne performance après bonne performance. Et sérieusement, c'est un FC Barcelone complètement revigoré sous Andy Flick. Et Flick qui... Il y avait quand même pas mal de sceptiques autour de son arrivée. Lui qui n'avait pas particulièrement bien fait avec la sélection allemande. Mais écoute, un projet de jeu comme celui du FC Barcelone, ça y va tellement bien. Chapeau à lui et à cette jeune équipe du FC Barcelone en ce début de saison. [00:22:01] Speaker C: Absolument. Puis certainement chapeau à Antiflick qui démontre que ce n'était pas juste à cause de l'effectif qu'il y avait au Bayern qui est allé chercher le triplé. mais bien à cause de sa mentalité et du style de jeu qu'il est capable d'apporter, mais aussi de ce qu'il est capable d'apporter dans le vestiaire. Parce que justement, on a vu le changement énorme des joueurs du Bayern. Changement physique, moi, voir Léon Goretzka arriver de la saison morte avec des bras deux à trois fois plus gros qu'il était avant. [00:22:32] Speaker B: Comme dix kilos en plus, tellement plus gosse. Exactement. Et c'est d'ailleurs, oui, c'est évidemment quelque chose sur lequel Flick a travaillé avec le Barça. Et c'est quelque chose sur lequel Pedri a été très vocal dans les médias. Il mentionnait que l'année passée, à la fin des matchs, les gars étaient fatigués. Il y avait de la misère à tuffer 90 minutes. Et ce n'est vraiment plus le cas cette saison. Je crois encore une fois que c'est Pedry qui a dit ça dans les médias après le Clasco. Mais il est rentré aux vestiaires et tous les joueurs et tous les effectifs du Barça se disaient que les joueurs du Real en ce moment sont fatigués. Nous, on ne l'est pas du tout. On va augmenter la cadence en deuxième mi-temps. Ils en ont planté quatre lors de cette mi-temps-là. [00:23:10] Speaker C: Maintenant parlant de joueurs fatigués, on va être rendu à finir par parler du Canadien de Montréal qui avait l'air très fatigué sur la glace ce soir, une autre défaite. Donc avant de parler du Canadien et de la Ligue Nationale, on va aller en courte pause musicale et au retour, nous aurons nos deux invités de plus qui s'ajouteront, soit Nicolas et Marc-Olivier. Donc sur ce, je vous laisse pour quelques instants et nous serons de retour par la suite. Mesdames et Messieurs, bonsoir et re-bienvenue parmi nous pour cette édition spéciale de Hors-jeu dans le cadre du Radiothon au profit de Moisson Estrie. Ne l'oubliez pas, encore une fois, encouragez, donnez des dons dans le but de soutenir les familles dans le besoin avec le temps des fêtes qui approche à grands pas. Donc avant de partir en pause, j'avais mentionné C'était pas juste moi qui étais fatigué en ce moment, mais bien aussi les joueurs du Canadien qui avaient l'air très très très fatigués sur la glace ce soir. Notamment parce qu'on est tombé 2-0 très très très rapidement encore une fois cette saison. Donc un peu en mode bonsoir les sportifs les gars. Donnez-moi un peu votre take sur la game, parce que là, moi, je suis un peu tanné. Ça ne va pas super bien depuis le début de la saison. Certes, on est en reconstruction pour probablement pas mal longtemps encore. Il y a plusieurs participants du Canadien qui n'ont pas l'air d'être au courant qu'une reconstruction, ça ne dure pas rien qu'un an. Mais oui, donc les gars, allez-y. [00:24:44] Speaker E: Écoute, t'as parlé des joueurs du Canadien qui sont fatigués, c'est pas juste eux qui sont fatigués, c'est tout le Québec puis les partisans du Canadien pour être francs avec toi. [00:24:50] Speaker C: Martin Saint-Louis aussi, j'imagine. [00:24:52] Speaker E: Est-ce que vous l'avez vu, réaction après la pédalité en fin de match? [00:24:56] Speaker B: Oui, je l'ai vu passer tantôt. [00:24:58] Speaker E: Il était non seulement fâché, mais il savait plus quoi faire. Puis honnêtement, à sa place, je pense que j'aurais pas réagi mieux que lui. Moi, avant le match de ce soir, je me suis dit, Ok, ils ne vont pas dire New Jersey, c'est sûr qu'ils perdent. Finalement, c'était plus tight que je pensais. Mais là, perdre de cette façon-là, encore une fois, à rajouter une défaite, c'est sûr que c'est dur sur le moral, peu importe si ce soit le coach ou les joueurs. Donc, un peu moyen comme soirée, pour être vrai. [00:25:26] Speaker C: Un peu moyen étudié. Écoute, aux dernières nouvelles, le Canadien traîne probablement maintenant au 30, 31e ou 32e rang. La seule chose de positive que je vois là-dedans, c'est que ça s'enligne pour un choix top 3 l'année prochaine. [00:25:38] Speaker B: Oui, effectivement. Écoutez, sinon, il y a Alex Newhook qui est devenu tellement dog ce soir. Avez-vous vu son deuxième but? [00:25:46] Speaker A: Exactement. Je suis très content parce que je l'ai dans mon pool. [00:25:52] Speaker B: Non, il a vraiment joué comme un dog ce soir, donc on est vraiment contents pour lui. Il en avait besoin. [00:25:58] Speaker A: Encore un premier but dans les deux premières minutes du match. Un but de Jesper Braat sur une part de Jack Hughes. Justement, Alex Newhook a eu l'air d'un con devant Jack Hughes, mais c'est encore un but depuis le début de la saison, dans les 2, 3, 4 premiers minutes du match. Il va falloir vraiment que les Canadiens se ressaisissent pour être en mesure de gagner les matchs. On ne peut pas accorder autant de buts que ça en début de première période. [00:26:26] Speaker C: Pas juste le Canadien qui va devoir se ressaisir, mais Samuel Montembeault va devoir se donner une belle claque en pleine face s'il veut faire le roster de Team Canada pour le face-off des quatre nations qui s'en viennent. [00:26:35] Speaker B: Oui, c'est tellement surprenant. On aurait tellement pu s'attendre à ce que ce soit une motivation supplémentaire pour lui, mais il y a eu le premier match de la saison où il s'est transformé en Prime Kendriada. [00:26:48] Speaker C: En Prime Carey Price, on peut le dire. [00:26:51] Speaker E: J'étais pour dire Patrick Roy en finale de 93. [00:26:54] Speaker C: En tout cas, il manquait juste le petit clin d'œil après la game parce que pour moi ça va avoir été sa meilleure game de la saison et ça va avoir été à celui-ci. [00:27:01] Speaker A: Exactement, mais je tiens juste à rappeler que Nick Dion a essayé d'appeler à ses KC pour le premier match à 98.5 pour dire son opinion sur la partie sur les Muppets de Toronto. [00:27:13] Speaker B: Arrête! [00:27:14] Speaker E: Puis ce soir-là, en plus, moi ce que je me disais, c'est... On n'a pas vu tout le match. Je vais le vendre la merde. [00:27:20] Speaker A: On a vu la 2e et la 3e période. [00:27:22] Speaker E: Puis moi, tout ce que j'avais en tête, c'est oui, le Canadien a bien joué, ou Montembo a volé le match, mais Toronto n'était juste pas là. Je trouvais qu'il n'y avait pas d'âme, cette équipe-là. Puis c'est un peu la même dicton qui roule année après année. Je ne pense pas qu'on veut parler de Toronto ce soir. Ça ne me tente pas moi non plus, mais c'est revenu sur le sujet. Bref, ce match-là, oui, Montembo a été extraordinaire, et depuis ce temps-là, C'est un petit peu plus difficile, mais en même temps, est-ce qu'il y a une équipe devant lui qui joue? Je ne pense pas. [00:27:49] Speaker A: En défensive, surtout pas. On a Jordan Strabo. On a une très jeune défensive, il faut dire, avec Kevin Gourley, Lynn Hudson. Mais il ne faut pas se décourager. D'ici deux ou trois prochaines années, ça va être une très bonne équipe canadienne. Mais en ce moment, c'est très difficile d'évaluer ceci. [00:28:06] Speaker C: Honnêtement, je ne pense pas que Jeff Corton et notre cher Ken Hughes s'attendaient à entamer la saison avec Samuel Montenbeau et Kayden Primo comme gardiens partants. Honnêtement, on aurait dû garder Jake Allen et se débarrasser de Kayden Primo parce qu'il ne vaut pas grand-chose. Mais ça me fait très rire parce que... [00:28:24] Speaker A: Je vais être honnête, Julien, ça me fait très rire ce commentaire-là, parce qu'il y a beaucoup de personnes l'an passé, surtout comme au BPM Sports ou dans les marcas de hockey, où est-ce qu'on mentionnait de se débarrasser de Jake Allen absolument parce qu'il y avait une valeur sur le marché des échanges. Mais là, aujourd'hui, on réalise qu'un joueur vétéran, gardien de but, ça peut aider une équipe à gagner des matchs, comme qu'on voit avec les Devils. Écoute, les Devils ont une très bonne fiche cette année. comparativement à son copain Jake Callum et Ken Primo. Personnellement, je prendrais encore Jake Allen devant Kevin Primo. On comprend que Kevin Primo, c'est un... Même si son père a joué dans la Ligue nationale et qu'il est très bon contre les Flyers de Philadelphia, parce que son père, Keith Primo, a joué pour les Flyers, on voit que Jake Allen aurait pu être un très bon élément pour seconder un joueur comme Samuel Montembeault, qui est un jeune gardien de bulle dans la Ligue nationale, et qui vit en ce moment, prenant son prime, En tant que joueur de hockey, c'est son prime en ce moment. C'est pas dans 4-5 ans, il va être trop tard. Parce que je ne suis pas un gardien de vue. [00:29:33] Speaker C: On n'a pas la même définition de prime. [00:29:35] Speaker A: Pas cette saison, mais l'année passée. Ça va être un très bon gardien de vue pour seconder Jake Allen qui a déjà eu le rôle de numéro 1. On aurait pu... Par exemple, jouer 40 parties par saison, un Jack-Allen, un 40-50 aussi, on aurait pu bien balancer tout cela au lieu d'avoir un Callum Primo qui est à sa première saison et qui a tout approuvé. Comme un numéro 2 dans la ligne nationale. [00:30:05] Speaker B: Les gars, j'aimerais attirer votre attention vers le chat du stream. On a reçu des questions, avec la gratuité de nos deux fans, Nao et Juju, qui nous regardent en direct. On les aime. [00:30:17] Speaker C: On les adore. [00:30:20] Speaker B: Tout d'abord, Juju nous demande, que pensez-vous du travail de Chantal Maccabée? [00:30:26] Speaker E: De Goat? [00:30:27] Speaker A: Vas-y, Nick. [00:30:28] Speaker B: De Goat, puis... [00:30:32] Speaker E: Où commencer sur Chantal Maccabée, honnêtement? Elle n'a pas eu la voix pour les femmes dans le milieu du sport. Je pense qu'il faut saturer ça là-dessus, sans nombre d'un doute. Merci à Chantal, elle a fait un excellent travail, l'occasion a bien fait de l'engager dans son équipe. Honnêtement, rien de mieux à dire. Je suis sans mots. Chantal Maccabée, c'est une icône dans le milieu du sport québécois. Rien d'autre à ajouter. [00:30:56] Speaker A: Exactement, c'est une femme très inspirante. J'ai eu, cet été, j'ai eu la chance de faire un stage avec Serge Gaudreau, qui est historien du sport, entre autres, ici à la Faculté des sciences humaines de Sherbrooke. Puis, on intervient un peu au même constat, c'est que, en fait, les médias contrôlent un peu le « message » en tant que tel, entre guillemets, du Canadien Montréal. Comme on le sait sur papier, écoute, une partie du Canadien appartient à Bell, qui est aussi un des diffuseurs du match officiel des Canadiens de Montréal, comme ce soir, d'ailleurs. C'est RDR qui diffusait le match. Puis TVA Sports, on le sait, est en déficit par rapport à ce qu'ils payent pour diffuser les matchs canadiens. Pour ma part, je sais que Chantal McAbee, comme le disait mon collègue Nidian, fait un excellent travail, mais pour moi, Il y a un travail au niveau scientifique à faire sur la relation entre les médias traditionnels et l'Académie Montréal, puisque pour moi, il y a beaucoup de connivences à y avoir. Donc, je laisserai ça un beau sujet de maitrise à y avoir pour quelqu'un qui est en communication. Mais pour moi, il y a beaucoup de connivences, il y a beaucoup de désavantages à critiquer le Canadien pour les médias qui appartiennent à Bell au niveau du Canadien. Donc, je vais laisser... Canjo commenter le reste, mais pour moi, c'est sûr. [00:32:27] Speaker C: D'autant plus, si tu me permets de rajouter, bien, ça va pas nécessairement bien en ce moment, la relation entre les sportifs puis les journalistes, les médias. On a pu voir dans la dernière semaine Cole Caulfield qui a eu une réponse assez... Oui, de Alain Crête par. [00:32:42] Speaker B: Rapport à son jeu défensif. [00:32:45] Speaker C: Une réponse assez directe. Ce n'est pas le seul dans l'NBA. On a vu le joueur de centre des 76ers de Philadelphia jouer à l'NBA d'être suspendu. par son équipe, parce qu'il y a eu une altercation avec un journaliste qui est venu mentionner son défunt frère et son niveau de jeu qui n'est pas à niveau en ce moment. Mais sans équivoque, tu ne mets pas ces deux sujets-là dans la même conversation, d'un, quand tu es journaliste, puis de deux, quand tu t'adresses à un bonhomme de genre 7 pieds. Mais encore. [00:33:20] Speaker B: Tu vois, c'est intéressant que tu dis ça. Ce n'est pas un monde avec lequel je suis particulièrement familier, ce qui est médias et sport. Mais comme vous savez, j'étais bénévole à l'Euro cet été à Leipzig et j'ai eu la chance d'assister à une conférence de presse, notamment du Portugal. C'était le défenseur Ruben Diaz qui répondait aux questions de l'auditoire. Et les questions me déprimaient tellement. C'était des journalistes de Beansports, c'était des journalistes de The Zone, c'était des journalistes qui venaient de partout en Europe poser leurs questions à l'un des meilleurs défenseurs au monde. Et toutes les questions étaient soit orientées sur Cristiano Ronaldo, soit elles étaient orientées sur les propres intérêts du pays que la chaîne représentait. Il y avait notamment un... un journaliste qui provenait d'Arabie Saoudite, et il a demandé à Ruben Diaz, ben écoute, t'sais, t'as des joueurs dans ton effectif qui jouent en Arabie Saoudite, c'est quoi l'influence de cette ligue-là? Et Ruben Diaz, de manière très diplomate, très politique, il répond, j'ai pas d'avis là-dessus, moi je joue en Angleterre, eux autres, ils font ce qu'ils ont à faire. Donc... Je ne sais pas à quel point ça répond à ce qu'on disait, mais non, ça fait... Je ne sais pas comment dire ça, mais les médias, c'est tellement comme prédateur envers les sportifs, puis je trouve que les questions... [00:34:45] Speaker E: Aussi préalablement que le chien dans ce jeu. [00:34:49] Speaker C: Écoute, merci Vincent pour ce commentaire. Pour répondre finalement à la question de Justine, qu'est-ce qu'on pense de Chantal Maccabée? [00:34:56] Speaker B: Moi je trouve qu'elle slay. [00:34:57] Speaker C: Chantal Maccabée a slay en mots dits et on l'aime. Le meilleur moment des games du Canadien, c'est quand on voit Chantal dans le couloir quand le match est fini et que les trois étoiles s'en viennent. Donc sur ce, messieurs, mesdames, on s'en va en courte pause. Mike drop et on sera de retour par la suite pour cette continuation de l'émission hors-jeu. À tout de suite. Donc nous sommes de retour déjà de cette courte pause et Marco m'a mentionné vouloir émettre un commentaire pour poursuivre notre discussion de tout à l'heure. Donc Marco, vas-y. [00:35:34] Speaker A: Exactement. J'ai beaucoup discuté avec Serge Gaudreault, historien du sport. On a eu une très grande conversation sur la relation entre les médias et le Canadien Montréal. Pour suivre ce que je disais avant la pause, TVA Sports n'a pas nécessairement intérêt à critiquer les Canadiens. On le sait que TVA Sports, depuis leur entente avec la LNH par rapport aux divisions du match de hockey sont extrêmement difficiletaires. Donc, de leur côté, ils n'ont pas nécessairement intérêt à critiquer les Canadiens pour avoir de moins en moins de coûts d'écoute. Donc, c'était juste sur cela que je voulais faire poursuite. Mais écoute, de mon côté, j'ai écouté un peu le documentaire sur Crave, sur la reconstruction, le rebuild des Canadiens. Au niveau communicationnel, écoute, le Canadien fait un excellent travail. Ça paraît beaucoup, beaucoup, beaucoup qu'on rebuild, qu'on fait une reconstruction de leur côté. Mais il y a beaucoup de commentaires constructifs que je vais m'abstenir ce soir pour qu'on puisse continuer à travailler à l'émission. Mais allez écouter la série sur Crave par rapport à la reconstruction du Canadien et vous verrez ce que je pense par rapport à ça. [00:36:40] Speaker B: Bien, pour continuer dans la même longueur d'onde, je me tourne à nouveau vers le chat. Et une autre question de Juju qui nous demande, que pensez-vous des conférences de presse de Martin Saint-Louis? [00:36:48] Speaker E: J'adore ça. [00:36:49] Speaker C: Ouais? J'adore aussi. [00:36:50] Speaker E: Genre, un cours jockey, ça doit pas avoir de filtre pis dis ce que tu penses là. Qu'est-ce que t'as caché? [00:36:56] Speaker C: Genre dire que l'équipe c'est du vomi là, 100%. Exactement. [00:36:58] Speaker A: Ça parle. [00:36:58] Speaker E: Est-ce que c'est vrai? [00:36:59] Speaker A: Est-ce que c'est vrai qu'on a vomi pis c'est l'Halloween pis c'est vrai le concept? [00:37:03] Speaker C: Écoute, c'est vrai. On dit pas n'importe quoi. [00:37:05] Speaker E: Mais tu vois qu'ils disent quoi? Oh, on l'a échappé. Non, non. Dis ce que tu penses. [00:37:12] Speaker B: Encore des démonismes des fois à cet entraîneur-là. [00:37:15] Speaker E: Pis est-ce qu'on l'a aimé Jean Perron? [00:37:18] Speaker A: Encore mieux ce soir, on a joué aux dames. Pis pour jouer au hockey, il faut jouer aux dames. Pis ce soir, on a pas sorti notre jeu d'échecs. Ok, là j'invente des affaires, mais ça semble un peu à ce que Martin Saint-Louis pourrait dire. [00:37:29] Speaker B: Ça sonne tellement comme des affaires qui pourraient être reprises dans le bye-bye dans le mois prochain. [00:37:34] Speaker A: Allez dire à Martin Saint-Louis. [00:37:37] Speaker E: On demande à l'équipe du Bye Bye de faire une bonne comédie des conférences de presse de Martin Saint-Louis. Je m'attends à ça devant mon écran lors du Bye Bye de Stanning. [00:37:47] Speaker B: Je ne sais pas pourquoi, mais je pourrais voir un sketch où Martin Saint-Louis est comme déguisé en mignon. [00:37:51] Speaker A: En tout cas, ils ont la même grandeur. [00:37:55] Speaker B: C'est la première image qui m'est venue en tête, je sais pas pourquoi. [00:37:57] Speaker E: Jouez par Pierre-Yvrois Desmarais ou Marc Labrèche. C'est ça que j'ai pensé, Marc Labrèche. [00:38:04] Speaker B: C'est une bonne caisson. [00:38:04] Speaker E: Dites-le dans le chat si vous avez une meilleure idée. [00:38:07] Speaker B: Marc Labrèche ou Pierre-Yvrois Desmarais. [00:38:10] Speaker E: Bon take. [00:38:11] Speaker C: Écoute, moi, personnellement, j'y vais avec la star de Le cœur a ses raisons, Marc Labrèche. Any day, n'importe quand. Merci, bonsoir. Tantôt, on parlait de TV R-Sport, mais moi, écoute, je me sens très nostalgique parce que le petit... Samedi soir, RDS... Ah, maudit que ça me manque! [00:38:30] Speaker B: Mais écoute, les matchs tous les jours de semaine, sauf le samedi, sont encore diffusés à RDS. Et d'ailleurs, le bruit que tu viens de faire, c'est mon alarme pour me réveiller, croyez-le ou non. [00:38:40] Speaker C: Oui, j'ai absolument aucune misère à le croire, mais quand même. La petite intro du hockey du samedi soir à RDS. [00:38:49] Speaker E: On parle d'intro, t'as totalement raison. mais moi je vais aller plus loin que ça. Vous vous rappelez-vous de l'époque des matchs du mardi soir aux Bolsonics? [00:38:55] Speaker A: Les méchants mardis! [00:38:57] Speaker C: Les méchants mardis! [00:38:59] Speaker E: Avec le M qui fait un genre de monstre. [00:39:02] Speaker A: Je sais pas trop. [00:39:03] Speaker E: Un smack! [00:39:03] Speaker B: Moi je me souviens des joueurs qui apparaissent sur le pont Champlain, puis sur le mille de la Gauchetière, puis le stade olympique. T'avais comme des vieux joueurs, puis ensuite ils montraient piqué Soubhan, piqué Harry Price. C'était la bonne époque. [00:39:19] Speaker C: La fameuse époque où je me ramassais un calendrier de saison du Canadien dans Indépendance. [00:39:25] Speaker A: Juste à dire, moi la seule saison qui s'est arrivée c'est quand Cal Chupchura et Georges Larraque signaient les images du club de hockey 1901 du Canadien en 2008. J'étais tellement déçu parce que ça avait pas tant de valeur. Mais comme disait Martin St-Louis, écoute, tu veux toujours aller chercher la meilleure chaise possible, mais tu dois toujours rester réaliste aussi et tu dois savoir qui sont les joueurs assis dans la chaise dès devant toi. Tu dois prendre une chaise et jouer le rôle dans cette chaise-là. Mais écoute, Tu dois toujours, en essayant, te monter de chaise. [00:40:02] Speaker B: Un vrai Saint-Louisme. [00:40:05] Speaker E: Tout est une question de chaise. Merci Martin. [00:40:10] Speaker C: Merci. Merci Marco de te transformer en poète le temps d'une soirée, pour vrai. [00:40:14] Speaker A: Je remercie Martin Seloui en 2022-2023. [00:40:18] Speaker C: Écoutez les gars, j'ai envie qu'on reste dans un angle un peu dépressif comme la saison du Canadien. On va parler de la saison dépressive des Oilers de 19. [00:40:26] Speaker A: Je pensais que t'allais parler des Bengals contre les Ravens. [00:40:30] Speaker C: Shout-out à Lamar Jackson, incroyable joueur. Mais oui, en effet, parlons du début de saison. Ma foi est désastreuse, des hurleurs avec un Colin McDavid qui a comme 10 points à 11 matchs. Excusez, pardon. [00:40:42] Speaker E: C'est tellement mauvais. [00:40:43] Speaker A: Je suis déçu pour mon goût, là. Colin, ça a l'air désastreux. [00:40:46] Speaker B: Ça le voudrait tellement pas à Montréal, lui. [00:40:48] Speaker C: Frôlé, un point par match en ligne nationale, là. C'est pas bon. [00:40:52] Speaker E: Est-ce que Connor McDavid est fini? [00:40:54] Speaker A: Non, il n'est pas fini. It's all over. Ça prouve juste une chose. Ce n'est pas nécessairement un joueur qui va faire un club et une dynastie. En ce moment, c'est sûr que Connor McDavid est blessé et qu'on ne peut pas nécessairement faire des prédictions à long terme et à moyen terme. Mais c'est vraiment ça. Mon point, c'est qu'un joueur élite ne peut pas faire une dynastie. C'est qui l'équipe de la Ligue Nationale qui domine en ce moment? [00:41:24] Speaker C: Les Jets de Winnipeg. [00:41:26] Speaker A: On regarde les Jets, ils ont Mark Sharfley, Nico Ehlers. [00:41:31] Speaker B: Ils ont Connor Hellebog dans les buts. [00:41:33] Speaker A: Ils ont Connor Hellebog dans les buts qui est un des meilleurs gardiens de but en ce moment depuis 2, 3, 4 ans dans les buts. Au niveau de défensive, il y a Jake Morrissey. Je ne sais pas si vous pouvez m'aider. [00:41:45] Speaker B: Kyle Conner. [00:41:46] Speaker A: Oui, Kyle Conner au niveau de l'attaque qui est un joueur extraordinaire. [00:41:48] Speaker E: Josh Morrissey qui est un top défenseur. Oui, j'ai dit que vous avez deux. [00:41:51] Speaker A: Joueurs, mais ce n'est pas grave. [00:41:55] Speaker B: Ils ont un super troisième trio avec Mason Appleton, Nino Niederreiter, Blake Wheeler aussi. Une troisième ligne que j'aimerais bien que le Canadien ait quelque chose comme ça. [00:42:08] Speaker C: Ça c'est la première ligne du Canadien, la troisième ligne des Jets. Mis à part ça, c'est drôle que vous parlez des Jets parce que justement en écoutant 5 à 7 à RDS hier, les gars ont mentionné peut-être un déménagement Des jets à Québec. Chose que je ne vois absolument pas arriver. Je pense que les gars du 5 à 7 à ADS, on rêve un peu en couloir. Mikel Guerrier est venu les ramener sur terre assez vite. [00:42:35] Speaker A: Exactement. [00:42:36] Speaker E: Mais en même temps, on jasse. On rétarde cette nuit-là. Qui veut aller à Winnipeg? [00:42:42] Speaker C: Personne, non. On va pas se le cacher. [00:42:44] Speaker E: Non, non, sans blague. Qui veut aller à Winnipeg? [00:42:46] Speaker A: Mais la meilleure chance que... Y'a-tu quelqu'un. [00:42:48] Speaker E: En ondes qui nous écoute qui est. [00:42:49] Speaker A: Allé à Winnipeg et qui peut nous. [00:42:50] Speaker C: Dire est-ce que c'est une belle place? [00:42:53] Speaker A: Pour vrai, Nick, la meilleure chance que tu te ramasses à Winnipeg, c'est si ton avion s'écrase là-bas. C'est la meilleure chance. [00:43:00] Speaker E: On est de mauvaise foi, je m'excuse. [00:43:01] Speaker A: Je vais... Oui, on est de mauvaise foi, mais on est d'accord. [00:43:03] Speaker C: C'est ça pour les autres histoires, c'est ça. C'est quoi la capitale de Winnipeg? [00:43:08] Speaker E: Manitoba. [00:43:09] Speaker A: Manitoba, c'est Winnipeg. Paul 101 avec Isabelle Lacroix prochaine fois. [00:43:13] Speaker B: La capitale de Winnipeg. [00:43:14] Speaker C: Il y a moi aussi qui est fatigué, faut pas l'oublier. [00:43:16] Speaker A: Mais écoute, si on va revenir un peu sur l'Inverdict, honnêtement, j'y crois seulement s'il y a une 36e équipe dans la Ligue Nationale. [00:43:26] Speaker B: Est-ce qu'il y en a 35 en ce moment? [00:43:28] Speaker C: Non, non, mais il y en a…. [00:43:30] Speaker A: On est à 32. On est à 32, mais il va y avoir une équipe à Atlanta avant, une équipe à Salt Lake City, puis là, on est rendu à 35, 36 avec… J'ai mal compté, hein? [00:43:40] Speaker B: On est à combien là? 32. [00:43:41] Speaker A: Il y a Houston avant, donc on est rendu à 33. 34 avec Aclantole, 35 avec une autre équipe. Il y en a 31. Non, il y en a 32 avec Seattle. Mais pour moi, pour vrai, pour que Québec ait une équipe, c'est vraiment plate parce que j'adore Québec. Puis que j'aimerais pour la Ligue nationale, puis pour le marché au Québec du hockey, qu'il y ait une équipe à Québec, mais il faudrait qu'il y ait une 36e équipe. Ça va être la dernière des franchises. Puis si on se rend là d'ici 2030, ça va être une catastrophe pour la Ligue nationale. [00:44:17] Speaker C: Pour moi, on verra pas ça d'ici 2030 parce que ça va être un sujet de conversation un peu plus tard, mais avec l'arrivée de Donald Trump, c'est pas mal sûr qu'il va en avoir une couple qui vont être frileux en masse de venir investir au Québec. Malheureusement, en fait heureusement, parce que moi je m'ennuie absolument pas des Nordiques. J'veux dire, j'ai toujours été un grand fan du Canadien de Montréal. [00:44:39] Speaker E: T'as genre jamais connu les Nordiques? [00:44:41] Speaker B: T'as jamais été au monde? [00:44:42] Speaker C: T'as jamais âgé en 2000? [00:44:44] Speaker A: J't'ai dormi pas à mes parents, ça compte pas là. [00:44:47] Speaker C: J'suis né en 2000, fait que... Presque. Presque. [00:44:50] Speaker E: Non, tu t'as connu. [00:44:51] Speaker A: C'est qui a été lu, c'est Janjo, c'est ça autour de la table? [00:44:53] Speaker B: Non, c'est Nick. [00:44:54] Speaker E: Non, c'est toi. C'est moi? [00:44:57] Speaker A: Oui c'est toi. [00:44:58] Speaker C: Au mois de mai 99? [00:44:59] Speaker A: Ben oui, c'est Marco. Écoute, au mois de mai 95, 4 ans avant, les Nordiques déménageaient. C'est un signe? [00:45:05] Speaker C: Écoute, l'élection de Trump est un signe que les Nordiques ne reviendront pas à Québec. [00:45:10] Speaker A: Wow, quelle transition. [00:45:11] Speaker B: Vous vous rendez compte qu'à ce bout-là, qui est né en 2002, n'a jamais été sur la terre en même temps qu'une franchise des Nordiques de Québec. [00:45:21] Speaker A: Écoute, je trouve ça stupéfiant. [00:45:23] Speaker B: C'est le genre d'affaire qui m'empêche de dormir la nuit. [00:45:25] Speaker E: On le salue, Azboula. [00:45:26] Speaker B: Ouais, on le salue, on le salue. [00:45:28] Speaker C: Écoutez, les gars, parlant d'Azboula, j'avais pas prévu de parler de ça à soi, mais parlons du combat de Mike Tyson qui s'en vient contre Jake Paul. Le lien va se faire à cause de la petite vidéo sur un certain podcast que Mike Tyson prend Azboula dans ses bras puis le traite comme un petit bébé. Je trouve qu'effectivement pas le cas parce que la célébrité est connue sous le nom d'Asboula à comme 18-19 ans. Puis en entrevue, j'ai vu une entrevue justement récemment dont Mike Tyson se fait poser la question « Est-ce que tu le savais que c'était pas un vrai bébé? » Puis Mike Tyson a répondu franchement « Absolument pas. J'étais sûr que c'était un petit bébé. » Fait que moi je l'ai pris dans mes bras, je l'ai trimballé un peu. Il a dit « Quand j'ai commencé à manger une coupe de claque d'en face, j'ai compris. [00:46:11] Speaker A: » On peut-tu parler des sports de précision à cette heure-là? Écoute, Nick. [00:46:18] Speaker B: Je suis content que tu en parles et je reviens au chat parce qu'on a à nouveau Jéju qui nous demande « Donnez trois conseils pour les débutants au jeu de poche ». Quelque chose me dit qu'il y a deux personnes autour de la table qui sont particulièrement bonnes au poche. [00:46:34] Speaker C: Messieurs, j'aimerais vous entendre Juste un instant. Justine, chère auditrice, on va devoir aller en courte pause avant de répondre à ta question, mais n'aie crainte, on va y répondre. Tu auras tes trois techniques pour devenir meilleure au jeu de poche. Re-bienvenue parmi nous ce soir pour cette édition de hors-jeu dans le cadre du Radiothon Profites-de-moi son Instri. Donc avant de partir en très très très courte pause, pas mal plus courte que je pensais, on a eu une chère auditrice qui en est déjà à la troisième question ce soir. [00:47:13] Speaker B: De très bonnes questions, très pertinentes. Très bonnes questions, c'est rendu que ça. [00:47:22] Speaker C: Veut qu'on parle de poche dans l'émission. Marc-Olivier, notre expert en jeu de poche, donne-nous tes meilleures techniques. [00:47:30] Speaker A: Écoute, je tiens à le dire et le mentionner, je ne suis pas le seul en l'espoir de jouer de la poche. Il y a aussi mon collègue Nicolas Dion qui a cofondé l'État à chute presse qui est en onde à chaque lundi à 13h sur les ondes SFAC 88.3. Le premier conseil que j'aurais à dire, c'est de lancer la poche dans le trou. On va commencer par le plus simple. [00:47:49] Speaker B: Je ne te suis plus. [00:47:50] Speaker A: Écoute, c'est très simple, c'est comme faire un abo au bowling. [00:47:55] Speaker C: Tu vises le milieu, c'est ça? [00:47:56] Speaker B: On vise le milieu, c'est le cornhole. [00:47:58] Speaker A: Non mais je te jure, pour vrai, c'est le truc le plus facile, c'est de viser le milieu. Pis si on rentre quatre poches de suite, ça fait une sacoche en bon français ou un cornhole. comme on dit en anglais, mais je vais laisser Nick un peu expliquer le reste pour devenir extrêmement bon au Cornhole. [00:48:16] Speaker E: Pour ceux et celles qui ne savent pas qu'est-ce que le jeu de Cornhole, c'est vraiment le jeu de poche classique. Je ne sais pas si vous avez connu ce jeu-là quand vous étiez petit avec les 9-3 avec des points différents. Par exemple, le trou du milieu, 50 points. Par exemple, celui du bas, 25 points. Mais là on parle vraiment d'un jeu où c'est un seul trou. Donc une poche dans le trou c'est trois points, une poche sur le bol sans entrer dans le trou c'est un point et en dehors c'est zéro. Mais ce sport-là, oui on peut l'appeler sport, je suis même pas gêné de le dire. Par où commencer? C'est certain qu'il y a une technique de poche que je ne peux pas vraiment montrer sans jeu. Ça sera pour une autre fois un tutoriel des poches en direct de CFA 88.3. Je ne sais pas si ça pourrait se faire. [00:49:02] Speaker B: Tu peux le faire avec le téléphone de la marque. [00:49:04] Speaker A: Écoute, c'est sûr que mon téléphone est ouvert, mais je sais qu'Alex Tardif a déjà commandé sur Amazon un jeu de poche avec des poches. [00:49:12] Speaker B: C'est vrai? [00:49:13] Speaker A: Je ne sais pas si c'est au courant de la soirée ou de la nuit. Tu pourrais nous le montrer. Mais ça pourrait être excellent. [00:49:18] Speaker E: À suivre à ce moment-ci. Si c'est le cas, on va pouvoir faire un tutoriel bien en masse. La base, c'est vraiment de se pratiquer. C'est un peu comme n'importe quel sport. Je ne vais pas dire de phrase miracle ce soir. C'est vraiment par la pratique et par la concentration. Une chose est certaine, c'est savoir bien lancer la poche selon le ball en question. Par exemple, à proximité du trou ou non. C'est un petit peu difficile à dire de manière audio. Mais au-delà des techniques, au-delà de l'idée de la pratique, je pense que le mot d'ordre, c'est vraiment d'être passionné. Et ça, c'est le cas de le dire là-dessus. [00:50:00] Speaker B: J'adore. [00:50:00] Speaker C: Ah, que j'aime ça entendre ça de m'entendre dire. Exactement. [00:50:03] Speaker E: Je prends l'occasion pour mentionner ceux et celles qui sont intrigués par ce sport. Allô, Kévin! À Sherbrooke, ça devient de plus en plus sérieux ce sport-là, puis c'est vraiment pas des blagues. Il y a maintenant une ligue professionnelle à l'échelle canadienne qui commence cet hiver. [00:50:20] Speaker B: Arrête donc. [00:50:21] Speaker E: Si je ne m'abuse, ACL Pro. [00:50:24] Speaker B: ACL. Ça me rappelle des mauvais souvenirs de mon jeu. [00:50:27] Speaker E: Si vous avez plus de questions, honnêtement, on pourrait en parler pendant des heures, mais sachez que les grands tournois de Cornwall aux États-Unis sont diffusés sur ESPN2, la deuxième chaîne d'ESPN2. [00:50:36] Speaker A: Exactement, puis il y a aussi des tournois diffusés sur YouTube en direct. Écoute, ça arrive souvent que Nick m'en envoie, mais c'est pour que je devienne meilleur parce que Nick est meilleur que moi à l'intérieur. Mais sinon, écoute, si vous voulez vous initier à ce sport-là de précision, Vous pouvez aller soit au Kingpin chaque lundi soir à partir de 19h, ou encore au pub La Cachette qui est situé à Rock Forest pour jouer au Cornhole sur 27 pieds de board de poche. Puis je tiens à dire qu'un des défis, c'est que quand la poche ne pèse pas le même poids que l'autre, c'est très difficile de la rentrer dans le trou. [00:51:13] Speaker B: Est-ce qu'il y a différentes catégories basées sur les poids des poches? [00:51:17] Speaker E: Non, pas nécessairement. C'est que selon la confection et selon le... Tu sais, par exemple, au Kingpin, ils sont pas... Oh mon Dieu, ça s'en revient le jeu, tout le monde. [00:51:27] Speaker B: Oh, y'a pas de pitié, là! [00:51:29] Speaker E: Selon la confection des poches en elles-mêmes, sans farce, il peut y avoir une poche un petit peu plus lourde, donc il va être plus facile à déplacer une autre poche, mais une plus légère, ça va être plus facile à envoyer directement dans le trou, mais ça va être un petit peu plus difficile à les déplacer en elles-mêmes. Encore une fois, en audio, c'est un petit peu difficile à imaginer. Mais sans blague, ce sport-là va prendre de plus en plus d'ampleur, de plus en plus pratiqué au Québec notamment. On parlait du pub Lacachette, mais il y a des bonnes ligues qui se jouent à longueur d'année au pub Lacachette qui ont un nom spécifique et qui se jouent partout au Québec aussi. [00:52:06] Speaker B: Ben tu vois, t'es en train d'élargir mes horizons sur un sport avec lequel je suis pas particulièrement familier, donc merci les gars, c'est super intéressant. [00:52:14] Speaker A: Si je peux rajouter, écoute, il y a une coupe du monde de cornhole. [00:52:18] Speaker E: Qui est en route. [00:52:19] Speaker A: 32 pays, dont le Canada, la dernière Coupe du monde de Cornwall avait lieu en Allemagne. Et le Québécois, je devrais dire l'équipe canadienne, parce que ce sont évidemment majoritairement les Québécois parce qu'on est très bons, l'équipe québécoise qui s'est qualifiée avait en haut de 9,5 sur 12 pour se qualifier pour la Coupe du monde de Cornwall. Pour vrai, écoutez, chers auditeurs, auditrices, allez voir c'est quoi le Cornwall et vous allez tomber en amour avec ce sport comme le bowling. [00:52:48] Speaker C: Et sur ces beaux mots de Marc-Olivier, dans un campus universitaire près de chez vous, vous allez peut-être croiser une équipe de poche qui va s'entraîner sur le terrain de votre université. [00:53:00] Speaker B: Prochaine équipe, verrez hors! [00:53:01] Speaker C: Peut-être. [00:53:02] Speaker A: Pourquoi pas? [00:53:03] Speaker C: Prochain sport à suivre. Prochain sport auquel j'aurais le plaisir peut-être de commenter aux côtés d'un certain Yannick Pinard. Pourquoi pas? Pas sûr que Pinard triperait autant que le football, mais on sait jamais. On sait jamais. Donc, en réponse à tes questions, Justine, ben voici la première réponse de Diane. S'entraîner. La deuxième réponse, c'est être passionné. Puis la troisième réponse, c'est quoi Diane? [00:53:30] Speaker E: C'est de la pratique, c'est quoi? Comme a dit Marco. Tout est dans le lancer, bien savoir le lancer. [00:53:34] Speaker C: Tout est dans le poignet. [00:53:38] Speaker E: Dans le bras et le poignet, sans blague. Encore une fois, en audio, c'est pas si évident que ça. [00:53:44] Speaker C: Ben écoute, Diane, parlant de mouvement de bras, la caméra a l'air d'être pas mal prête pour te voir lancer tes poches. [00:53:51] Speaker E: Voyons donc. [00:53:52] Speaker B: On va essayer, vas-y. [00:53:54] Speaker C: Mesdames et messieurs, en primeur, en direct du 1-1 sur le campus de l'Université de Sherbrooke. [00:54:01] Speaker A: Fais-moi une belle sacoche, le nick, là. [00:54:03] Speaker C: Une sacoche. Vous aurez l'occasion de voir notre cher Nicolas-Diane National tenter de réussir un trou d'un coup en jouant aux poches. [00:54:13] Speaker A: T'as pas le micro, mais je vois d'écrit. Écoute ton lancé. Écoute, en ce moment, on a Nicolas Dion qui est devant les deux pancartes de ses facs pour illustrer l'histoire avec une poche rouge. En ce moment, il va placer la couture proche de sa pompe de main. [00:54:29] Speaker B: Merci Carlo Blanchard. [00:54:43] Speaker C: J'espère qu'il va regarder bien ça à la maison. [00:54:46] Speaker E: Sois directement dans ta main ici. [00:54:48] Speaker C: On est en train de recréer l'histoire. [00:54:49] Speaker A: Donc cher auditeur, il faut que le maximum de grains soit proche de la pompe de main. Alors Nicolas Dion a lancé sa première poche. Nous avons raté de très peu les premiers lancés. [00:55:02] Speaker B: Il avait besoin d'un coup de pratique. [00:55:07] Speaker C: Et voilà Justine, en primeur, juste pour toi, Nicolas-Diane a rentré une poche sur trois. Donc on peut voir qu'effectivement, il a besoin de beaucoup plus de pratique encore. [00:55:18] Speaker A: Mais je tiens à dire que Nicolas Dion a une meilleure moyenne que moi dans la ligue du lundi au Kingpin, mais que l'été, lorsqu'on joue à l'extérieur, j'ai une meilleure moyenne que lui. Comme au quai en ce moment. [00:55:28] Speaker B: Peux-tu nous expliquer c'est quoi la différence entre jouer à l'intérieur et à l'extérieur? [00:55:33] Speaker A: Honnêtement, en toute transparence, c'est l'humidité. L'humidité peut jouer un rôle très grand, que ce soit au niveau des potes, au niveau des grains, au niveau du bois qui va accumuler l'humidité. Donc, lorsqu'on joue l'été dehors, à l'extérieur, il faut lancer un coup fort sur sa poche pour qu'elle rentre dans le trou pour faire quatre points. [00:55:52] Speaker C: Marco, je ne veux pas t'interrompre, mais on peut voir à quel point Nicolette Dion est passionnée ici, parce qu'elle est en train de réussir. [00:55:57] Speaker A: C'est parce que tu ne m'as pas vu jouer encore, mais je suis en train de passer une aiguille. [00:56:01] Speaker C: 1 sur 1. Et c'est lancé! Encore une chance de réaliser le trifecta. [00:56:08] Speaker A: T'es capable, je le sais. [00:56:10] Speaker C: Il entre deux sur trois, mesdames et messieurs. [00:56:13] Speaker B: Quelle histoire. [00:56:14] Speaker C: Il est magnifique la poche. [00:56:16] Speaker A: La sacoche. OK, ça ne fonctionne pas comme ça. C'est normal de piquer. [00:56:22] Speaker C: Donc merci à tous et chacun en nom de la maison d'avoir de nous avoir suivi, d'avoir regardé Dion tenter de réaliser plusieurs exploits avec des petits sacs de poche. Alors voici finalement ce qui répond à la question de Justine. Comme tu as pu le voir, ce qui aide à devenir meilleur aux poches, c'est de jouer comme Dion. [00:56:46] Speaker A: C'est surtout le pratiqué, mais c'est pas grave. [00:56:49] Speaker E: Merci pour le compliment. Bref, pratiquer. [00:56:53] Speaker C: Je lance la question à notre cher directeur technique en ce moment. Avons-nous d'autres questions dans le chat? J'ai cru comprendre qu'on avait une belle question sur nos signes astrologiques, donc pourquoi pas? [00:57:05] Speaker F: Oui, c'est exactement ça. [00:57:06] Speaker E: J'adore parler d'astrologie. [00:57:08] Speaker B: Ah oui? [00:57:09] Speaker E: D'astrologie, oui, j'adore parler d'astrologie. [00:57:11] Speaker F: C'est exactement ça, en fait. On a Naomi Morissette, en tant que personne née dans les années 90, j'imagine que c'est ça son nom pour vrai. Elle vous demande d'écrire et de parler de vos cèques astrologiques, messieurs. [00:57:25] Speaker B: Nick, toi qui a l'air tant d'un passionné, veux-tu te lancer? [00:57:28] Speaker E: Je suis un passionné, mais je ne suis pas un connaisseur. C'est-à-dire, selon moi, c'est un sujet tellement facile d'approche de discuter. Tu connais pas la personne que tu rencontres, tu parles de scénariste relogique, ça peut couler, puis c'est juste drôle en soi. Mais moi, pour ma part, je suis Scorpion parce que ma fête était avant hier. [00:57:48] Speaker C: Bonne fête, Nick. [00:57:49] Speaker E: Vous pourrez me contredire dans le chat, mais selon mon scénariste relogique, Des personnes avec des grands caractères, mais on est très attachants. Moi, mon ascendant, c'est Lion aussi. Scorpion ascendant Lion. Selon ma mère, qui lit le livre des anges chaque année, Ça vient atténuer un peu mon caractère d'homme mort de scorpion. [00:58:17] Speaker B: C'est tes sources en plus? [00:58:19] Speaker E: Oui, j'essaie le mieux que possible. Mais blague à part, ça serait vraiment l'un des éléments que j'aurais à dire sur mon signal astrologique. Donc on est des personnes qui peuvent parfois être difficiles d'accès nécessairement, mais qui au fond ont des bons cœurs et qui sont très honnêtes dans leur approche avec tout le monde aussi. Très intéressant. [00:58:42] Speaker A: Je suis d'accord avec ça pour te côtoyer, écoute, à chaque jour. Moi de mon côté, écoute, toi t'as dit que t'étais scorpion, ascendant scorpion. Moi de mon côté... Lyon. [00:58:53] Speaker E: Ascendant Lyon. [00:58:53] Speaker A: Lyon, excuse-moi. Écoute, ça sera pas la même chose que je vais dire, mais moi de mon côté je suis taureau, ascendant taureau. Donc je suis quelqu'un qui fonce dans la vie, qui fonce à travers les défis, qui n'a peur de rien et qui a peu importe les conséquences, va assumer celles-ci. Mais pour vrai, je suis taureau, ascendant taureau. Donc s'il y a quelqu'un qui sait ce que ça veut dire au niveau des signes astrologiques, autre que foncer dans la vie. Écoutez, intervenant en ondes, mais je fonce dans la vie. [00:59:22] Speaker C: Sans vouloir t'interrompre Marco, est-ce que la prochaine question est sur le même sujet ou c'est une autre question? [00:59:28] Speaker F: Oui, c'est exactement le même sujet. On voudrait savoir maintenant si vous connaissiez vos signes astrologiques chinois. C'est selon votre année de naissance. C'est selon votre année de naissance. Et si vous êtes pas nés entre janvier et février, tout est beau avec votre année. [00:59:45] Speaker E: Marco, t'es lapin. En 99, on est lapin. [00:59:48] Speaker A: Non, mais moi, je te dirais que je vois les personnes en face de moi, pis je te dirais que mon signe, le descendant chinois, c'est le McDo. [00:59:56] Speaker B: C'est pas ton signe astrologique américain, ça? [00:59:59] Speaker A: Ça se peut parce que je suis un peu obèse, là. Si on se fie à l'OMC, là. Non, à l'IMC, à l'Index de masse corporelle du Canada. [01:00:09] Speaker E: Les gars, je sais pas, en 2000, par contre, c'est astrologique chinois. [01:00:12] Speaker B: Laisse-moi regarder, vite-vite. [01:00:13] Speaker E: J'ai envie d'être cochon, mais je peux me tromper. [01:00:16] Speaker F: De mémoire, je pense que c'est dragon. [01:00:19] Speaker B: T'as raison, Alex. [01:00:21] Speaker A: Merci. Non mais, à Écores, c'est pas une pause, normalement? [01:00:22] Speaker C: Oui, ben justement, on va se laisser le temps de réfléchir à nos ascendants et whatnots, pis on va revenir après la pause sur les ondes SFAC-83. Ça part ici. Et nous sommes de retour déjà pour continuer en fait de parler de nos signes astrologiques et de nos ascendants et quoi que ce soit. Alors je vais... [01:00:49] Speaker A: Le titre de l'émission, c'est pas hors-jeu. [01:00:51] Speaker C: Ben oui, mais écoute Marco, hors-jeu peut être vu. [01:00:53] Speaker E: On répond au chat. On répond au chat. [01:00:57] Speaker C: Justement, on est hors-jeu en ce moment. Donc, pour ma part, j'ai aucune idée à part que je suis Gémeaux et je suis né en 2000. Donc, si quelqu'un dans le chat veut se prononcer sur quoi que ce soit, allez-y, ça me fait plaisir. [01:01:12] Speaker B: Écoute Julien, je vais te suivre parce que je suis également Gémeaux et je crois Ascension Gémeaux aussi. Double Gémeaux. Les gars, par contre, il va falloir que vous m'aidiez. Je ne sais pas particulièrement ce que ça fait ça. [01:01:25] Speaker A: À part gagner un trophée à Radio-Canada? [01:01:32] Speaker B: Non, mais je sais qu'être gémo, c'est apparemment avoir comme deux personnalités différentes et avoir les coups de sec, selon Mime Fruité. J'ai comme l'impression qu'aucune des deux affirmations concorde avec moi. [01:01:46] Speaker C: C'est faux pour les coups de sec. Je tiens à répondre à Mime Fruité que j'ai quand même les coups de sec pas mal. [01:01:51] Speaker B: Ah, bon. [01:01:52] Speaker C: Fait que... [01:01:52] Speaker E: Ils sont ultra-sics. Désolé. [01:02:00] Speaker B: Par contre, pour poursuivre dans cette conversation-là, il y a deux signes que je trouve vraiment oppositionnels, puis j'aimerais connaître votre avis là-dessus. C'est les lions et les vierges. Je sais pas si les gars, vous êtes familiers avec ces deux signes-là. [01:02:12] Speaker E: Je suis tellement embêté, Vincent. [01:02:15] Speaker B: Bon, mais je vais vous expliquer un peu. Apparemment, les lions, c'est des gens qui ont des grosses personnalités, des gros égos. Et les vierges, c'est des gens qui passent un peu plus sous le radar, mais qui sont super sympathiques, mais qui jasent beaucoup une fois qu'on apprend à les connaître. Et moi, je suis vraiment quelqu'un... [01:02:40] Speaker A: Lâche pas de jouer, t'es capable. [01:02:42] Speaker B: De ce que je comprends. De mon historique, d'amis pis tout ça, je trouve que les vierges c'est vraiment des belles personnes au moment où tu commences à les découvrir. Ils chansent beaucoup, mais moi je suis quelqu'un qui aime beaucoup écouter. [01:02:56] Speaker C: De ce que je comprends, t'as vraiment ça à coeur Vincent. [01:02:59] Speaker B: Ouais, plus que les lions. [01:03:01] Speaker E: C'est des gens nés en août puis en septembre. Pour qu'on a côtoyé beaucoup de personnes qui sont nées en septembre, c'est des amours en effet. [01:03:09] Speaker A: Ou c'est des gens en pré-campagne électorale. [01:03:11] Speaker E: Aussi. Je serais pas prêt à dire que c'est des fans de politique nécessairement, mais c'est des personnes-là que je connais, je côtoie. Pas nécessairement des gros égos pour les vierges, mais tu parlais de Lyon. Mais de ce que je comprends, je vais pas partir dans qui est le meilleur entre les deux, je vais plutôt dire que c'est des personnes complémentaires qui peuvent vraiment se rejoindre pour compléter un excellent tout, bénéfique pour l'ensemble des personnes qui les côtoient. [01:03:41] Speaker A: On va y aller comme ça? [01:03:44] Speaker B: Oui d'accord avec toi. Je sais que mon cousin entre autres est vierge et ça fit avec ce que je disais, ça fit avec ce que tu disais, donc on les salue. C'est tellement des belles personnes. Pour vrai, je les aime beaucoup. [01:03:58] Speaker E: Puis, comme tu disais, les Vierges parlent beaucoup. Ces dernières parlent beaucoup. Je les salue. Ceux et celles qui se reconnaissent dans mon entourage qui sont dans le septembre, on les salue. [01:04:08] Speaker B: Je suis content de voir qu'aucun d'entre vous fait l'avocat du diable en étant un peu plus Team Lyon. Moi, je trouve que les Vierges, c'est vraiment indiscutablement meilleur que les Lyons. [01:04:17] Speaker A: Non, mais moi, je te le désire. Je suis trop hâte à s'en retourner. Je pourrais prendre une équipe pour vous autres. [01:04:24] Speaker E: Il n'y a pas de guerre d'astrologie ce soir-là. On parle de sport. [01:04:28] Speaker A: Ouais, pas d'essai. [01:04:30] Speaker B: On répond au tchat quand même. [01:04:32] Speaker E: Y'a-t-il d'autres questions du tchat en ce moment? [01:04:35] Speaker F: Est-ce que tu veux savoir qu'est-ce qu'on mangeait en arrière d'un mois? [01:04:42] Speaker A: Ah, du McDo pis j'ai vraiment le. [01:04:44] Speaker C: Goût de manger ça. [01:04:46] Speaker F: Y'a Big Mac et McCroquette qui ont été servis. Sinon, c'était un compliment pour vous parce que vous êtes très bon et intéressant. Consultez votre beau travail. [01:04:54] Speaker A: J'imagine que c'est un mec compliment. Avec un McDouble GCM, sans cornichons, commandé au McDo Belvedere. [01:05:06] Speaker B: Ça serait assez bon en ce moment. [01:05:10] Speaker C: Pour rester dans l'optique de niaiserie en fait, puis d'un peu d'absurdité qu'on raconte depuis le début de l'émission, on va continuer de parler d'absurdité, puis on va faire le pont entre le sport et Donald Trump. Parce qu'autour de la table, nous sommes quatre politologues, quatre passionnés de politique, puis il y a certainement des liens à faire entre la récente élection de Donald Trump et le monde du sport. Donc, premièrement, dans les derniers jours de la campagne, on a pu voir que le président de l'UFC, Dana White, une personnalité très connue, notamment dans le monde de la consommation du sport, donner son appui à Donald Trump, puis c'est pas le premier. De plus en plus, on voit des figures emblématiques dans le monde du sport. Je parle ici au printemps dernier, il y a eu un gros incident quand même avec le kicker des Chiefs de Kansas City, ou plutôt l'équipe de Taylor Swift, pour celles et ceux qui ne connaissent pas les Chiefs de Kansas City dans l'NFL. Donc Harrison Butker, il avait été de propos relativement incendiaires quant à au mois de la fierté, aussi au droit à l'avortement. Donc, il avait fait savoir son... Il avait fait savoir sans équivoque qu'il était contre ça. Il avait réitéré son support pour le mouvement de Donald Trump. Puis, il y a quelques semaines de cela aussi, un autre événement de la sorte est arrivé, alors que le joueur de ligne défensive, en fait, le superstar des 49ers de San Francisco, Nick Bosa, qui a «crash» une entrevue, si je peux me permettre de dire ça, en plein milieu du terrain, avec des... avec des... je sais pas comment dire ça, du linge, des trucs à l'effigie de la campagne de Donald Trump aussi, encore une fois pour réitérer son... Est-ce qu'on va voir ça de plus en plus arriver dans le monde du sport, d'autant que le clivage et la polarisation continuent d'augmenter aux États-Unis? figure emblématique du monde du sport s'affronter un peu sur une scène qui sera plus leur court de basket ou leur terrain de soccer ou leur aréna mais vraiment dans place publique. Je sais pas les gars si vous voulez débattre de ça un peu parce que c'est quand même... C'est un enjeu qui va prendre de plus en plus d'importance au cours des prochaines années. [01:07:37] Speaker A: Nick, je te laisse aller parce que tu joues au foot. [01:07:42] Speaker E: Faire où commencer? Je tiens à rappeler aussi qu'Arisen Butker, le lendemain ou le surlendemain qu'il avait fait ses déclarations, les Chiefs étaient sortis publiquement pour mentionner que nos joueurs ont le droit d'avoir des opinions politiques. Je vais pas rafraser ce qui a été mentionné. [01:07:58] Speaker C: On tente pas de dire le contraire ici non plus. [01:08:01] Speaker E: En effet, 100%. Au-delà même de la position de ces joueurs-là par rapport aux idées politiques de Donald Trump, ce n'est même pas ça l'idée, pour ma part, ça devient quand même une certaine pente glissante. Dans la mesure où, on le sait, le sport prend de plus en plus de place au niveau médiatique, au niveau social, et on le sait, ces joueurs-là, Je veux dire, ces joueurs-là, parce qu'on parle de football, mentionnent leurs idées ou vont plus loin en défendant leurs idées aussi, d'une quelconque façon. Sur des sujets pendrissants, notamment les droits LGBTQIA+, on s'en va avec ça. Je suis plus ou moins à l'aise. Honnêtement, je ressens un certain malaise. Puis j'ai pas le choix de faire un parallèle aussi avec Colin Kaepernick, qui à l'époque, encore une fois pour les 49ers, qui je crois c'était en 2017 ou 2018, qui avait dit « moi je me lève pas pendant l'hymne national parce que pour la brutalité policière, pour la brutalité envers les personnes racisées, etc. [01:09:07] Speaker C: » On a même été déposer un genou au sol en fait, en signe de solidarité. [01:09:14] Speaker E: Puis cet épisode-là, on se rappellera, Donald Trump était sorti publiquement en disant « Voyons, c'est qui ce gars-là, il devrait même plus jouer dans la NFL ». Puis comme par hasard, il ne joue plus aujourd'hui. [01:09:24] Speaker C: Ça n'a pas été long après ces événements-là que les 49ers ont résilié son contrat, puis ça a été... [01:09:31] Speaker B: Je crois qu'il a été suspendu de la NFL pendant quelques années. [01:09:35] Speaker E: Je ne veux pas m'avancer, je ne me rappelle plus. Ce que je sais, c'est que ça a comme été tassé très rapidement. Puis les rumeurs mentionnaient qu'il n'était plus de calibre de toute façon, etc. Ah oui, il n'était-tu vraiment pas de calibre ou c'était vraiment une raison politique qui l'ont tassé? Je ne vais pas m'avancer là. Je ne me rappelle plus. [01:09:58] Speaker C: Certainement, la question du lien politique par rapport à ça prend de plus en plus son ampleur parce que depuis ce temps-là, Il y a beaucoup de joueurs qui ont suivi l'exemple de Colin Kaepernick, qu'on a décidé de mettre un genou au sol. Et pourtant, Kaepernick a été le seul à écoper parce que c'est lui qui a lancé le mouvement dans un sens. C'est le visage du mouvement, si je peux me permettre, contre la brutalité policière dans le monde du sport. Colin Kaepernick a été le visage notamment de certaines campagnes de Nike aussi. pour essayer de mettre en valeur un peu les accomplissements de Colin Kaepernick, malgré tout. Puis, justement, je voulais... En fait, les gars, je voulais aller dans une direction qui vient de me sortir de l'esprit, mais tout de même, ça souleva une autre question pour moi, parce que, justement, les emblèmes du monde du sport, c'est aussi des modèles. C'est des modèles pour les prochaines générations. Puis quand on se dit que des modèles auxquels plusieurs enfants aspirent à devenir C'est encore plus une plante glissante qu'on se dit que ces athlètes-là vont commencer, ou il y en a qui ont déjà commencé à y aller, de discours politiques assez incisifs, si je peux me permettre de dire. Puis justement, on peut voir partout, dans toutes les sphères, que quand une personne en certaine position, pas nécessairement d'autorité, mais avec un certain auditoire, Je vais comparer ici à Andrew Tait. Quand des personnes comme Andrew Tait ou des célébrités sportives disent quelque chose, c'est souvent pris à la lettre, puis on l'entend, puis on y va avec ça. Puis justement, plus que ça avance, plus que moi ça me fait peur pour les jeunes de continuer de regarder du monde comme ça. C'est sûr, on a la liberté d'expression et tout. Mais je pense qu'il y a quand même une arène, une place où faire ça, puis la place où est-ce que c'est en train de se faire en ce moment, bien c'est pas la bonne place. [01:12:04] Speaker E: 100% d'accord. Je sais pas si vous voulez ajouter quelque chose également. [01:12:10] Speaker B: Juste pour être sûr que je comprends bien. Donc tu dis que, par exemple, un athlète qui utilise sa plateforme pour parler d'une cause qui lui tient à cœur. [01:12:20] Speaker C: C'Est pas... Non, c'est pas exactement ça que je veux dire. C'est plutôt... C'est pas d'utiliser la plateforme pour faire ça, c'est de la façon qu'on utilise la plateforme en fait. Ça revient quasiment à faire de la propagande, veux-vous pas, dans un certain sens, à certains points, puis là c'est vraiment un énorme stretch de ma part de dire ça. Mais plus ça va, plus ça pourrait tomber dans cette optique-là de... plus vers un élan de propagande que plutôt de juste dire ce qui nous tient à cœur, ce qui nous passe par la tête. Parce que là, je veux dire, c'est des idéologies politiques qu'on est en train de mettre de l'avant sur la place publique. Puis je me pose juste la question, t'sais, pour les personnalités sportives, t'sais, c'est-tu la meilleure place pour faire ça? Est-ce qu'il devrait vraiment avoir une démarcation entre la politique et le sport? Parce que veux, veux pas, ces deux-là vont toujours être intrinsèquement liés. [01:13:19] Speaker B: C'est une question assez touchée. Je vais faire un peu l'avocat du diable ici, mais j'ai l'impression que si des athlètes sortaient publiquement et prônaient des idéologies, des politiques auxquelles nous on adhère, probablement qu'on serait de bonne humeur de voir ça. On serait content de voir ça, puis on les encouragerait, puis on serait fiers du fait qu'ils sortent un peu du rôle stéréotypé d'un athlète. qui décide d'ajouter son petit grain de sel à la société. Mais je comprends tout à fait ce que tu veux dire. C'est tellement une arme à double tranchant. Et peu importe ce que ces athlètes peuvent dire dans les médias, ça ne fera jamais l'unanimité. Ça peut leur créer des ennemis. Je pense notamment à un joueur de soccer néerlandais qui s'appelle Anwar El Ghazi. Je ne sais pas si ça t'a dit quelque chose. L'année passée, il y a deux ans, il évoluait en Allemagne pour le club de Mayence en première division. Suite aux attaques du Hamas sur Israël, lui il s'est affiché vraiment pro-Palestine et instantanément son contrat a été résilié par le club. Évidemment, ça a fait beaucoup jaser de part et d'autre. Il y a plusieurs gens qui se disaient, bien tu sais, bien on s'est bien fait, la politique ça n'a pas rapport dans le sport. Contente-toi de marquer des buts et c'est beau. Il y en a d'autres qui sortent du rôle stéréotypé d'athlète et disent ce qu'ils pensent. Nous, on est d'accord avec lui. Et ce joueur-là, je ne sais pas où il joue en ce moment, mais ça fait un petit bout de temps qu'on n'a pas entendu parler de lui. mine de rien, écoute, il est demeuré vocal par rapport à ça, il veut pas s'excuser, il sticke sur ce qu'il a dit, mais ça peut être mis fin à sa carrière aussi, tu sais. [01:15:11] Speaker C: Oui, puis justement pour faire du pouce là-dessus, je vais nous ramener dans la NFL aux États-Unis. Parce que, ben, justement, depuis... Ok, là, il va falloir m'arrêter un peu parce que là, je partais k-pop, j'ai juste eu un coup de fatigue, les gars. Faites juste me reprendre quelques instants. Désolé, je me reprends. Je voulais aller dans la direction que quand on a une différence d'idéologie entre les propriétaires des équipes et les joueurs, comme on a pu le voir avec les 49ers et Colin Kaepernick, parce que justement, quand j'écoutais le dernier 5 à 7 à RDS avec Mikeur Yerrier, qui est venu faire une chronique sur le lien entre l'élection de Donald Trump et le sport, il a présenté des chiffres quand même alarmants pour moi quant aux dons politiques de certains propriétaires des équipes. Donc, on a fait la division entre les dons au Parti républicain Les dons au Parti démocrate, et clairement, les dons étaient beaucoup plus présents et importants du côté républicain. Donc le plus gros donneur du côté des républicains, c'est nul autre que le propriétaire de Walmart, qui est aussi le nouveau propriétaire des Broncos de Denver, soit Rob Walton, qui a donné 20,3 millions de dollars cette année à la campagne de Donald Trump. Le deuxième propriétaire qui vient le plus proche, c'est 3.4 millions, puis ça donne aux démocrates. Donc, pour moi, je vois quand même ça d'un... Encore une fois, ça ramène le truc de la pente glissante, Tionne, parce que les propriétaires, clairement, ont toujours un certain poids de plus que les joueurs n'ont pas, que ce soit dans la négociation de contrats, des pubs, de quoi que ce soit. Les propriétaires ont le gros mot du bâton. Puis, bien, plus que la politique prend de la place, plus que ça peut créer d'autres clivages, mais là, dans les organisations sportives, quand on a un propriétaire qui a une idéologie vraiment différente du restant de son équipe, comment ça va se passer? Est-ce qu'il va laisser la place à ses joueurs de s'exprimer de façon libre? Moi, c'est une question que je me pose. Je sais pas si c'est un enjeu qui vous préoccupe, les gars, mais plus que ça va, moi, plus que ça me préoccupe. [01:17:32] Speaker E: Je peux embarquer sur ta réflexion en mentionnant, je pense que le risque ou la pente glissante ou la crainte c'est de voir le système politique américain comme il est en ce moment. On considère que la majorité des joueurs de football sont américains. Je pense qu'ils sont très au courant que tout le monde peut faire des dons politiques d'une manière assez transparente, sans limite. C'est pas nécessairement le fait que ceux-là font le problème, mais le fait que le système le permet de le faire. Le fait que le système politique américain est... on pourrait faire un épisode de radio pendant trois, quatre heures, on aurait pas assez pour dire que ce système-là est brisé, pis c'est un peu dramatique, là, honnêtement, que ce soit au niveau du financement politique ou au niveau du fait que c'est un système bipartiste ou est-ce qu'il y a des clivages vraiment violents en ce moment, pis violents, c'est même pas une blague, là. Donc, ta crainte est vraie, c'est-à-dire... C'est pas normal que des propriétaires d'équipes sportives peuvent faire ce genre de dons-là à des campagnes électorales. Mais je vais aller plus loin. C'est pas normal qu'un individu peut faire ce genre de dons-là pour une campagne électorale. Fait que là, où est-ce qu'on s'en va avec ça? Je ne sais pas. Je ne sais pas où est-ce qu'on s'en va. Mais si je peux revenir sur la discussion de manoeuvre générale, Vincent, tu l'as bien dit tantôt, dépendamment de la direction ou de l'opinion en elle-même des athlètes, On réagirait d'une manière différente si, par exemple comme tu l'as mentionné, le joueur de soccer qui était pro-Palestine, il s'est fait couper là, mais... Ouais bien, excuse. [01:19:26] Speaker B: De te couper, j'ai des informations par rapport à lui. Son contrat a été résilié. Le 12 juillet 2024, un tribunal allemand a jugé qu'Algazi avait été licencé abusivement par Mayence et condamne le club à payer 1,5 million d'indemnités aux joueurs. Il décide d'en verser 500 000 euros à des oeuvres humanitaires aidant les enfants à Gaza. Il joue actuellement en deuxième division anglaise. Donc, il a quand même été capable de poursuivre sa carrière, heureusement pour lui. Mais voilà, ça a quand même été une situation qui a fait beaucoup de bruit et qui va potentiellement mener à de la jurisprudence et à des cas qui pourraient devenir de plus en plus fréquents. [01:20:03] Speaker E: Puis, juste rapidement, au-delà de l'opinion politique qui est divulguée dans les médias ou les médias sociaux ou quoi que ce soit, On prend l'exemple de Harrison Butker, c'est pas une idéologie politique ou un parti politique qui défendait, qui critiquait, c'était plus loin que ça. Parce qu'un mouvement LGBTQ+, en entier, moi je crois qu'on frôle la citation à la haine, puis on va plus loin que critiquer de politique publique ou un parti politique. Puis c'est là que j'ai un petit peu de misère avec ça, puis qu'on doit vraiment faire une casseure critiquer une politique, critiquer un programme politique, critiquer une personne dans ses agissements, là, j'ai juste dans ma tête, on peut critiquer tout ce qu'il dit et tout ce qu'il a fait, cette personne-là, mais d'aller dans la critique de minorités, de populations en elles-mêmes spécifiques sur des stéréotypes ou quoi que ce soit, Là, ça dépasse un peu la limite pour moi, puis c'est là la distinction qui est importante à souligner pour vraiment bien analyser la situation, ce qu'Aaron Botkin ne fait pas du tout. Pour moi, c'est vraiment un cas qu'il faut dénoncer. [01:21:10] Speaker C: Oui, puis ça l'a fait énormément de vagues. Aussi, si je ne me trompe pas, Aaron Botkin, en premier lieu, qui n'a pas voulu offrir des excuses non plus suite à ses propos, il n'en avait absolument rien à foutre, si je peux me permettre de dire ça comme ça. Puis c'en est un parmi tant d'autres qui s'inscrivent dans ce courant-là. Mais je reviens sur ton point, Vincent, quand même, que c'est sûr que ça nous fait sentir comme ça probablement parce que c'est pas des idéologies auxquelles on adhère. Quand on voit des sportifs plutôt, comme LeBron James ou quelqu'un qui s'affiche comme démocrate, le discours est jamais autant... incendiaire. C'est sûr que les discours ne sont pas autant polarisés sur certains points. Les démocrates ne vont pas attaquer autant. [01:22:00] Speaker B: Des mouvements... – Je dis ça, mais peut-être qu'on ne le voit simplement pas parce qu'on est un peu dans notre chambre d'écho. [01:22:04] Speaker C: – Oui, chambre d'écho, exactement. 100 %. Mais tout de même, veux, veux pas, ici on a quand même accès énormément au sport professionnel aux États-Unis. Je veux dire, le Canada fait partie du monde du sport professionnel aux États-Unis. Puis ça va m'apporter une autre question, une des dernières questions. C'est un sujet quand même assez... C'est un sujet assez dur. Mais on va parler de l'immigration, de la déportation des 20 millions d'immigrants aux États-Unis. parce qu'il pourrait avoir un lien avec le sport. C'est un stretch encore une fois, mais d'un coup, dans ces 20 millions-là, il y en a qui sont des athlètes professionnels. Est-ce qu'on va venir faire le tri là-dedans et dire non, toi tu peux rester, c'est correct, tu as accompli telle chose, telle chose ici. Toi, il va falloir que tu retournes d'où tu viens parce que tu n'as pas accompli les mêmes choses. J'ai peur que ça, ça arrive parce que dans certains sports, notamment le baseball, on a plusieurs joueurs en provenance d'Amérique latine, d'Amérique du Sud, sur le Mexique, Cuba, la République dominicaine, des pays qu'on voit parfois avoir des difficultés, des conflits, des conflits armés, quoi que ce soit, qu'il y ait des mouvements de population vers les États-Unis. Est-ce que vous croyez, les gars, que ça pourrait être une possibilité peut-être de voir ça arriver dès l'arrivée de Trump au pouvoir, puis quel impact ça pourrait avoir sur le monde du sport? [01:23:35] Speaker B: Écoute, je te mentirais pas que ça sort un peu de mon champ d'expertise, là. J'ai l'impression que seul le temps pourrait nous dire si Trump est capable de mettre des politiques comme ça en place, puis on verra en temps et lieu si effectivement il y a des gens qui sont... des athlètes, etc., qui sont affectés par ça. [01:23:53] Speaker E: Je pense que l'élection était il y a trois jours. Attendons de voir. Je pense que, quoique les propos sont inacceptables et un peu incendiaires, je ne vous le cacherai pas, mais attendons de voir ce qui arrive. Je crois que ça ne vaut pas la peine. Selon moi, ça ne vaut pas la peine de partir. en peur d'arrêter de voir ce qu'il y en a, attendons de voir ce qu'il se passe. Ce genre de propos qui se réalisent pendant un claquement de doigts, pour être franc, puis à suivre. [01:24:29] Speaker C: Certainement. Puis Vincent, je ne disais pas ça non plus pour... comment dire... C'est une question ouverte. Plus dans le sens que... Je veux dire, c'est une possibilité. Il y a toujours... le monde est rempli de possibilités. Ça pourrait être quelque chose qui arrive, comme autant que ça pourrait être quelque chose qui n'arrive pas non plus. Mais tout de même, la question de l'effet de la présidence de Trump sur le monde du sport, il faut probablement avoir des... comment dire? Certains... pas nécessairement des problèmes. [01:25:06] Speaker E: Des répercussions. [01:25:06] Speaker C: Des répercussions, c'est ça. Je pense peut-être à des répercussions surtout sur le sport professionnel féminin. D'autant plus que le mouvement Trump avec le mouvement anti-avortement est un mouvement qui ne met pas toujours le droit des femmes de l'avant, si je peux me permettre, l'équité surtout. Puis, cette semaine, justement, en écoutant un autre reportage, j'ai appris qu'il y avait une ligue de baseball professionnelle qui est censée voir le jour, une ligue féminine, d'ici 2026, en 2026, en fait. Mais là, je me disais, avec l'arrivée de Donald Trump, est-ce que ça va ralentir ce processus-là? Est-ce que ça va ralentir le processus aussi d'expansion de certaines ligues comme la LPH? La Ligue professionnelle de hockey féminine qui est à seulement 6 équipes en ce moment. Même chose pour la WNBA. Certes, la WNBA a beaucoup plus de succès, beaucoup plus d'équipes aussi. Mais avec tout ce qui se passe en ce moment, il y a quand même des répercussions là-dessus. Il y a des possibilités aussi que on aille un peu moins d'expansion, peut-être, si je peux me permettre de dire ça, avec des nouveaux propriétaires qui seraient un peu plus frileux, de venir faire des investissements dans un contexte qui est un peu... bien, dans un contexte autant polarisé, puis dans un contexte qui est autant pas stable, si je peux me permettre de dire ça. [01:26:30] Speaker B: Bien, je vois d'où est-ce que tu viens avec ça, mais il faut quand même pas oublier que ces ligues-là, ce sont des ligues privées et qui sont financées par des investisseurs privés. Une ligue de baseball féminine, une ligue de hockey féminine, J'ose espérer que les gens qui mettent leur argent là-dedans, ils vont le mettre peu importe qui est le président du pays, et que les gens qui donnent leur argent à quelqu'un comme Donald Trump, ce ne seront pas des gens qui vont investir dans ces ligues-là. Donc, j'ose espérer qu'il n'y aura pas trop de répercussions sur ces ligues-là. Et d'ailleurs, la Ligue professionnelle de hockey féminine, j'ai eu la chance de la suivre quand même un petit peu, là, au printemps. Et c'est tellement une belle ligue. Ça vaut tellement la peine d'être plus développé. Et je sais qu'encore une fois, il va y avoir des matchs de la victoire de Montréal qui vont être joués au Centre Bell. Écoute, moi, je vais essayer de me prendre des billets. [01:27:26] Speaker E: Go les girls! [01:27:27] Speaker B: Vraiment. On parlait du Canadien tantôt. Ça fait du bien de voir une belle équipe de hockey à Montréal qui performe présentement. Mais non, écoute, pour revenir à ce que tu disais, encore une fois, je crois que seulement le temps pourra nous dire. mais j'ose espérer que les gens qui veulent investir là-dedans, dans ces ligues-là, vont continuer à le faire peu importe qui est au pouvoir. [01:27:48] Speaker C: Ouais, bien, chose certaine, c'est probablement pas au Québec qu'on verra ces équipes-là dans le futur. [01:27:55] Speaker A: Oh, on serait surpris, moi, je pense pour vrai que Québec pourrait avoir une équipe de... De poche. Oui, une équipe de poche, mais surtout une équipe féminine de hockey professionnel avant qu'on le pense. Écoutez, Montréal a déjà une équipe. Imaginez une rivalité Québec-Montréal. [01:28:10] Speaker C: Ça serait fantastique. [01:28:12] Speaker A: Au niveau économique, ça rapporterait beaucoup d'argent. Moi, je ne serais pas surpris que l'une des prochaines équipes de ligue de hockey professionnelle féminine soit Québec. Quand on remonte dans l'histoire du hockey, quand on remonte dans l'histoire du hockey professionnel en plus, les premières équipes de hockey professionnel sont au Québec, en fait sont à Montréal. Donc je ne serais pas surpris de voir le Québec avoir une équipe professionnelle de hockey féminine au lieu d'avoir une équipe professionnel de hockey dans la Ligue nationale. [01:28:46] Speaker B: Moi, je trouverais ça tellement pertinent, puis ça revient un peu à ce que tu disais tantôt par rapport au Nordique, comment c'est un projet qui est un peu sur la glace, puis qui risque pas de voir le jour de sitôt. Écoute, tu mets une équipe de hockey à Québec, féminine, c'est une équipe derrière laquelle la ville pourra se mettre au complet, créer une rivalité comme dans le temps avec Montréal. Moi, j'achète. [01:29:10] Speaker C: Pour ça, les gars, il va falloir que le gouvernement Legault arrête de cracher 5 à 7 millions sur l'avenue Vikings à Québec. Et sur ce, on va aller en courte pause, notre dernière pause de l'émission, et nous serons de retour pour la suite et la fin de Hors-jeu. Donc pendant la pause, notre chère Alex à la console m'a mentionné d'avoir d'autres questions dans le chat. Donc avant de terminer notre émission sur un petit jeu bien ludique de questions de hockey, on va répondre à nos dernières questions. [01:29:41] Speaker F: Oui, exactement. C'est Juju qui demandait encore dans le chat, pour quand une équipe de football féminine du Verriard, selon vous? [01:29:52] Speaker E: Je vais la prendre. Fun fact, mais super, super, super cool. Depuis, je crois, deux ans, Équipe Québec envoie des filles et femmes à une compétition pancanadienne de championnat national une fois par année, au même titre que les gars. Donc c'est vraiment un football qu'on ne t'accompagne pas de flag football, donc il y a vraiment une structure qui existe et qui émerge de jour en jour. On voit aussi de plus en plus des femmes qui peuvent jouer au football collégial aussi, même au Québec on parle, je n'ai pas son nom en tête, il y a une botteuse au cégep de Drummondville notamment qui a commencé cette année, qui a pu faire ses marques. On parlera aussi de la botteuse. [01:30:34] Speaker C: Des. [01:30:34] Speaker E: Bisons de l'Université de Manitoba à Canada-Ouest, qui joue au universitaire et qui est une excellente botteuse. Honnêtement, on parle de la meilleure du Canada-Ouest. C'est vraiment un bon calibre. Sur ces paroles-là, on voit qu'il y a une structure qui émerge. On voit le flag football féminin qui n'est pas très populaire en ce moment. Il en a de plus en plus de place et qui a un calibre très élevé. Je ne peux pas donner d'années, mais ce que je peux vous dire, c'est que ce serait vraiment le fun et qu'on n'est pas si loin que ça. Je ne veux pas dire d'années, mais ce serait vraiment le fun. [01:31:08] Speaker A: Je veux juste rajouter, pour que la structure soit pérenne, ça prend vraiment un investissement de la part du gouvernement du Québec. Ça, c'est 100%. [01:31:16] Speaker E: On le souhaite. [01:31:17] Speaker C: Parfait, donc j'espère que ça répond à ta question, Juju. Dernière question maintenant, en autant qu'il n'y. [01:31:24] Speaker F: En ait pas d'autres. En tout cas, pour l'instant, il n'y en a pas d'apparu, mais on peut le dire que c'est la dernière question. Naomi qui demandait, que pensez-vous de l'influence de Taylor Swift sur la montée de la popularité des Chiefs? [01:31:35] Speaker A: Ce n'est pas moi qui vais répondre pour Travis Kelsey. [01:31:39] Speaker C: Je peux me lancer en tant que grand fan de football. Moi, je n'en ai absolument rien à foutre. Je n'aimais déjà pas les Chiefs avant la venue de Taylor Swift. [01:31:50] Speaker A: Ce sont parfaits les Chiefs pour gagner le Super Bowl. [01:31:53] Speaker C: Avant sa relation avec Travis Kelsey, je pense que c'est plutôt une distraction pour l'équipe. qui quand même performe très bien, nous toujours invaincus cette saison. En autant que Taylor Swift casse pas avec Travis Kelce d'ici le Super Bowl, je pense que les Chiefs auront plus de misère, mais au moins les fans de Taylor Swift seront doigts à un nouvel album et une très bonne chanson qui parlera définitivement de Travis Kelce. [01:32:17] Speaker E: Sachez que le fait que Taylor Swift sorte avec Travis Kelce, qui est présent dans tous les matchs, la NFL aura C'est un cadeau du ciel que cette personne de notoriété excessivement publique et mondiale puisse être aussi près de la NFL, être aussi influente. Honnêtement, la NFL est juste mordorée parce que non seulement il y a film pendant beaucoup de séquences pendant le match. Et pub gratuite, oui, mais ça permet d'acquérir de nouveaux auditeurs auditrices hommage à la NFL. [01:32:48] Speaker A: Exactement. Puis on va se dire, le Trevor Scalceri, il connaît pas sa meilleure saison en plus. Donc, c'est vraiment un miracle pour les Chiefs. [01:32:54] Speaker C: Il a repris quand même beaucoup de poils de la bête dans les dernières semaines. [01:32:59] Speaker E: Allons quiz! Allons quiz! Allons quiz! [01:33:02] Speaker C: Donc, Alex qui est de retour parmi nous, il n'a pas eu le temps de parler finalement. [01:33:07] Speaker D: Ben non, c'est correct, je voulais parler de hockey. Mais il y a plein d'énergie par contre. Ben oui, j'ai de l'énergie, mais je voulais le laisser entre-chambres profiter du moment. Oui c'est ça, je vais vous amener un jeu, un questionnaire de hockey qui vient de chez moi qui s'appelle une question de hockey. [01:33:22] Speaker C: Le logo me fait grandement penser à Lancôtre et ses enquêtes. [01:33:26] Speaker E: De la compagnie McQuiz. [01:33:27] Speaker D: Je l'ai chez nous. [01:33:28] Speaker A: Tu l'as-tu chez vous pour vrai? [01:33:29] Speaker D: Ben oui. Je pense que tout le monde l'avait ce jeu-là. [01:33:31] Speaker A: Il y a les mordus de hockey. [01:33:34] Speaker D: Ils se trouvent dans toutes les ventes de garage proches de chez vous. [01:33:36] Speaker A: Exactement. [01:33:37] Speaker D: Alors, c'est des questions. Bon, le jeu date de 2007, donc il y a assurément des trucs qui sont moins d'actualité. On s'entend? Ouais, elles sont loin un peu. [01:33:49] Speaker A: 2007, c'est l'année du cover d'Abechkin sur NHL et sport. [01:33:53] Speaker D: Exactement. Et donc voilà, c'est ça, je vous pose des questions. Il y a plusieurs catégories, mais c'est pas tant clair, sauf une catégorie où c'est devinez le numéro du joueur. Sinon les autres, c'est bizarre. J'y vais en rafale, je vais y aller avec des plus durs. Parce que la première question c'est Steve Iserman, quel numéro? [01:34:11] Speaker A: 91 ou 99? 99, les gars. [01:34:15] Speaker D: Je pense que c'est une facile, je vais la poser d'abord. Il y a les choix, il y a A-19, B-39 ou C-91. Je suis convaincu que c'est 19. Je vais sticker avec 91. [01:34:24] Speaker A: Non, c'est 19. Julien ne se prononce pas. [01:34:33] Speaker D: Bon ben, c'est 19 ans. Eh oui, comme ça devrait être. Alors, quel joueur des Canadiens a remporté le trophée Hart le plus grand nombre de fois? Heureusement, ça doit être encore d'actualité, cette question. Alors, on a A. Howie Morenz, B. Jean Béliveau et C. Guy Lafleur. [01:34:51] Speaker B: Michael Pezzetta. [01:34:53] Speaker D: Malheureusement. [01:34:55] Speaker C: Je... [01:34:55] Speaker A: Je vais aller avec Howie Morenz. [01:34:59] Speaker B: Guy, rappelle-moi les choix. [01:35:01] Speaker D: Morenz, Béliveau, Lafleur. [01:35:04] Speaker B: Je vais dire Béliveau moi. [01:35:05] Speaker C: Moi je vais dans Guy Lafleur. [01:35:07] Speaker D: Nick. [01:35:08] Speaker E: Même chose Guy Lafleur. [01:35:09] Speaker C: Guy Lafleur. [01:35:10] Speaker D: Eh bien, suivez le gars qui collectionne les cartes de hockey. Vous êtes tous en train d'en collectionner. C'est Howie Morens qui en a remporté trois. [01:35:17] Speaker A: Merci. [01:35:17] Speaker D: Collectionner des cartes de hockey, ça aurait. [01:35:19] Speaker B: Pu être moi aussi. [01:35:20] Speaker D: Ouais, ben c'est ça. [01:35:20] Speaker E: Je pense que c'est moi. [01:35:21] Speaker C: Pas tant surpris en même temps. [01:35:24] Speaker D: Quel a été le premier joueur à enregistrer des saisons consécutives de 50 buts? A. Bernard «Boom Boom» Geoffrion. [01:35:31] Speaker A: Guy Lafleur. [01:35:32] Speaker D: B. Mike Bossy ou C. Bobby Hall. [01:35:35] Speaker C: Mike Bossy. Mike, ça va être Mike. [01:35:40] Speaker A: Je crois que c'est chez le Canadien, mais j'irais avec Mike Bossy. Avec un Mike Bossy des années 70. C'est pas vrai que c'était à l'année 12, c'était bon? [01:35:48] Speaker B: Bon ben, juste pour être chiant gros, je vais dire Boum Boum Geoffrion. [01:35:52] Speaker D: Et toi, Julien? [01:35:52] Speaker C: Mike Bossy. [01:35:53] Speaker D: Mike Bossy, ben personne là. Personne là. Bobby Hall. Bobby Hall, ben oui, exactement. [01:35:59] Speaker E: Ben oui, combien de saisons? [01:36:00] Speaker D: Alors là, je ne garde pas le compte, mais en gros, je pense que tu as deux bonnes réponses. [01:36:04] Speaker C: Donc Marco se mérite en ce moment le junior au poulet de Vincent. [01:36:10] Speaker D: Alors, on cherche une équipe de la Ligue junior de l'Ouest. Je ne sais pas si l'équipe existe encore. Les M de Prince-Albert. Est-ce que ce sont A, les Broncos, B, les Princes ou les C, les Raiders? [01:36:23] Speaker A: On va chercher un autre tour. Les Princes de Saint-Albert. Si on y voit chacun d'autres tours, c'est les Princes de Saint-Albert. [01:36:30] Speaker E: B aussi, Princes. [01:36:31] Speaker C: Ouais, moi aussi. [01:36:32] Speaker D: Écoutez Marco, les Princes. Vous étiez tellement convaincus d'avoir la mauvaise réponse, c'est les Raiders. Il nous reste le temps pour une ou deux autres questions. Daniel Alfredson, quel numéro? [01:36:45] Speaker B: 11. [01:36:46] Speaker A: 11 aussi, oui. Et qui est Ottawa. [01:36:48] Speaker D: Eh oui, bien joué. Quel est le meneur de tous les temps? Pour les minutes de pénalité chez les Maple Leafs. S.A. Dave Williams. B. Ty Domi. C. Wendell Clark. Ouais, j'ai dit Ty Domi. [01:36:59] Speaker A: Non mais... Oh my god, ça peut être dur parce que ça peut être Dave de Tiger Williams. [01:37:04] Speaker B: Tiger Williams. [01:37:04] Speaker A: Mais... C'est quoi les choix déjà? [01:37:07] Speaker D: Williams, Ty Domi, Wendell Clark. [01:37:10] Speaker A: Ouf. Je voyais avec... Oh non! Dave de Tiger Williams. [01:37:17] Speaker D: SNICK. [01:37:19] Speaker E: Monsieur Williams. [01:37:21] Speaker D: Eh bien, c'est Taidomé. Taidomé, eh oui. Qui détient le record chez les Capitals pour le plus grand nombre de buts en une saison? [01:37:31] Speaker A: Mike Gardner. [01:37:33] Speaker D: A. Denis Marouk B. Peter Bondra C. Mike Gardner Gardner. [01:37:39] Speaker A: Je vais aller avec Mike Gardner. [01:37:42] Speaker B: Ça doit être une question qui n'est plus d'actualité. [01:37:47] Speaker D: Tout le monde y va avec Gartner? C'est Dennis Murrock, 60 buts. Est-ce que c'était pour les Capitals? Moi j'ai le chandail signé de Mike Gartner. Avec Toronto. [01:38:05] Speaker A: 35 piastres sur eBay. [01:38:13] Speaker D: Quel a été le tout premier capitaine des Whalers de Hartford dans la LNH? A. Dave Keown B. Mike Rogers C. Rick Lee Je vais aller avec Dave. [01:38:26] Speaker A: Keown avec l'expansion de la HL. [01:38:29] Speaker B: Je vais dire Rogers. [01:38:32] Speaker C: Moi, j'y vais avec qui, Yann? [01:38:33] Speaker D: Rick Lee. Et la réponse dit qu'elle revient dans la partie. Écoutez, dernière carte, dernière carte. Scott Niedermeyer, quel numéro? [01:38:41] Speaker C: 27. [01:38:41] Speaker A: 27 aussi, ouais. [01:38:42] Speaker E: Avec les ducks et les doubles. [01:38:43] Speaker D: Exactement, 27. Les Red Wings ont choisi ce joueur au premier rang du repêchage de 1977. Qui était-il? Était-ce A. Dale McCourt, B. Reed Larson ou C. Brent Peterson? Un 1-1. [01:38:58] Speaker A: Aucun des trois joueurs, donc je vais. [01:39:00] Speaker D: Jouer le B. Le B, qui était Reed Larson. C, qui est Brent Peterson. A, qui est Dale McCourt, donc deux personnes pour le A. Et c'est la bonne réponse, Dale McCourt. [01:39:11] Speaker B: Bravo, Maas. [01:39:12] Speaker D: Alerte aux pouleurs. [01:39:13] Speaker C: Vincent va pouvoir garder son junior. [01:39:16] Speaker D: Quel était l'entraîneur des Stars lors de leur conquête de la Coupe Stanley en 1999? [01:39:21] Speaker A: L'une des roughs. Ah ouais? Non, non, non, c'est pas ça. [01:39:25] Speaker D: Vous devriez jouer sans choix de réponse. [01:39:26] Speaker A: C'Est encore plus humiliant. C'est pas l'une des roughs, je me suis trompé. [01:39:33] Speaker D: Vas-y avec les choix de réponse. Dis-le à Alex, je veux le savoir. [01:39:37] Speaker A: C'est Ken Hitchcock. [01:39:38] Speaker B: Bon, je vais dire Ken Hitchcock. [01:39:39] Speaker C: Moi je dis Dave Tippett. [01:39:42] Speaker B: Nicolas fonce les sourcils. [01:39:44] Speaker C: C'est pas Bob Gainey. [01:39:45] Speaker E: C'est weird. C'est Ken Hitchcock, mais c'est pas lui. [01:39:50] Speaker D: Ben c'est Ken Hitchcock. C'est lui. Qu'est-ce qu'un Trashers? Un Trashers. [01:39:56] Speaker A: Une belle poche des usines. [01:39:58] Speaker D: Un oiseau, un poisson ou un serpent? [01:40:01] Speaker C: Un oiseau. [01:40:01] Speaker A: Un oiseau où il y a le logo. [01:40:03] Speaker D: Un serpent. J'ai le temps d'en donner un bon. [01:40:08] Speaker B: Mais sinon, on a dans notre chat, on se fait demander de lancer une dernière poche. Les quatre. Ben Alex, si tu veux te joindre à nous. [01:40:15] Speaker E: Le setup est rangé. [01:40:17] Speaker D: C'est complexe au niveau des caméras. [01:40:19] Speaker B: Un gars s'essaye. [01:40:21] Speaker D: Ça sera pour le Patreon. Abonnez-vous. [01:40:25] Speaker E: On vous jure, on va le faire hors don. [01:40:28] Speaker D: Honnêtement, si vous faites un don de 10$, à Moisson Estrie, on va le faire. On va le faire, mais on va webdiffuser une game. Une game de poche entre Marco et Nicolas. Envoyez-nous une preuve de don de 10 piastres. [01:40:44] Speaker A: Un virement interac. [01:40:45] Speaker C: Message qui s'adresse à nos auditeurs, dont probablement une certaine Justine et une certaine Naomi, j'imagine, qui ont posé la question. [01:40:51] Speaker B: Ils attendent juste ça pour aller se coucher. [01:40:53] Speaker D: On va interrompre le show d'Alex, qui suit tout de suite celui qu'on a, pour une game de poche. Si on a un don. Bon, je termine. Martin Lapointe, quel numéro? [01:41:03] Speaker B: J'ai jamais entendu. [01:41:05] Speaker D: Ultimement, who cares, mais... Le 26? [01:41:09] Speaker C: 38. [01:41:09] Speaker D: Alors, 22, 32 ou 44? On va vous aider. [01:41:12] Speaker A: 22, 32 ou 44? 44. Moi je dis 32. [01:41:15] Speaker C: Je vais dire 22. [01:41:17] Speaker A: Avec les Red Wings, c'est 22. [01:41:18] Speaker D: Je sais pas c'est qui. Donc c'est 22. Eh oui, bel et bien. Et une petite dernière, là, une petite dernière. Bon, celle-là est trop facile. [01:41:26] Speaker C: On va voir. [01:41:27] Speaker D: Non, c'est trop facile. Qui a remplacé Milt Schmidt en tant qu'entraîneur-chef des Bruins en 1966? Était-ce Phil Watson, Harry Sinden ou Tom Johnson? [01:41:35] Speaker E: Tom Johnson. [01:41:37] Speaker C: Tom Johnson. [01:41:37] Speaker D: J'ai oublié de regarder ta réponse, puis elle est tombée par terre. [01:41:40] Speaker A: On ne peut pas avoir une autre question à part les Bruins. Ce n'est pas une équipe qu'on aime. [01:41:44] Speaker E: On a répondu pour Toronto, on va répondre pour Boston. On va être de bonne foi. [01:41:48] Speaker D: Harry Sinden était la réponse. [01:41:50] Speaker B: Et voilà! [01:41:51] Speaker D: C'est ce qui conclut ce quiz WEIRD. Vous resterez après pour vous entraîner, puis l'année prochaine, on va retester vos skills. [01:41:57] Speaker B: Ben écoute Alex, croyez-le ou non, on va peut-être avoir un don de 10$. [01:42:00] Speaker C: Oh my god. [01:42:02] Speaker A: Excellent. [01:42:02] Speaker D: J'attends la preuve. J'attends la preuve. Un screenshot de paiement sera suffisant, puis on va webdiffuser ça. Inquiétez-vous pas, on va le faire. [01:42:11] Speaker C: Donc mesdames et messieurs, c'est ce qui met fin à notre édition spéciale de Hors-jeu avec Julien Mocénaire, Vincent Tchangiopi, Nicolodeon et Marc-Olivier Jacob. Donc merci les gars d'avoir été présents avec moi malgré l'heure tardive pour discuter de peu n'importe quoi comme on a pu le voir de signes astrologiques, de poches, de sports, de Donald Trump, de n'importe quoi. Donc avant la petite partie de poches entre Nicolodeon et Marc-Olivier Jacob, On va se laisser pour une courte pause en musique et moi je vous dis ciao à la semaine prochaine! [01:42:42] Speaker E: Salut tout le monde! [01:42:43] Speaker B: Bonne soirée!

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